La construction des villas dites présidentielles sur les terrains de l’aéroport Léopold Sédar Senghor va connaître un coup d’arrêt la semaine prochaine.
C’est l’une des décisions prises à l’issue de la rencontre entre les syndicalistes et Habib Sy, le ministre des transports aériens.
Depuis quelques jours, les syndicalistes multipliaient réunions et concertations.
Ils avaient même prévu de déposer un préavis de grève mardi dernier.
Les syndicalistes dénonçaient l’attribution des terrains à des tiers qui les revendent.
Devant l’autorité les travailleurs souligne que "La levée des servitudes sur les terrains est illégale. Ce sont les directeurs de l’Anacs et un représentant de la Haute Autorité de l’aéroport qui avaient signé la levée des servitudes sans la présence de l’Asecna." tonne un syndicaliste.
Il souligne que c’est sur injonction du secrétaire général de la présidence, Abdoulaye Baldé,qui dans une lettre, avait demandé au directeur de l’Anacs Mathio Bessane de lever les servitudes. "Cela concernait les 10 villas qui devaient accueillir les hôtes du sommet de l’Oci" ajoute-t-il.
Ils précisent que même délocalisés à Ndiass, ils vont exiger leur dû.
"Nous avons préserver pendant 50 ans ces terrains" souligne un syndicaliste.
Les techniciens de l’aviation tirent la sonnette d’alarme. "Toute la zone d’aménagement qui devait servir d’atterrissage en cas d’urgence aux avions est occupée. Cette partie est prévue dans les cas où les avions ne peuvent pas s’abîmer en mer de "crasher" mais aujourd’hui si tel est le cas, ce sera un drame" dit-il.
Selon eux, 300 mètres de câbles ont été volés, ce qui aurait pu créer une catastrophe
24hchrono
C’est l’une des décisions prises à l’issue de la rencontre entre les syndicalistes et Habib Sy, le ministre des transports aériens.
Depuis quelques jours, les syndicalistes multipliaient réunions et concertations.
Ils avaient même prévu de déposer un préavis de grève mardi dernier.
Les syndicalistes dénonçaient l’attribution des terrains à des tiers qui les revendent.
Devant l’autorité les travailleurs souligne que "La levée des servitudes sur les terrains est illégale. Ce sont les directeurs de l’Anacs et un représentant de la Haute Autorité de l’aéroport qui avaient signé la levée des servitudes sans la présence de l’Asecna." tonne un syndicaliste.
Il souligne que c’est sur injonction du secrétaire général de la présidence, Abdoulaye Baldé,qui dans une lettre, avait demandé au directeur de l’Anacs Mathio Bessane de lever les servitudes. "Cela concernait les 10 villas qui devaient accueillir les hôtes du sommet de l’Oci" ajoute-t-il.
Ils précisent que même délocalisés à Ndiass, ils vont exiger leur dû.
"Nous avons préserver pendant 50 ans ces terrains" souligne un syndicaliste.
Les techniciens de l’aviation tirent la sonnette d’alarme. "Toute la zone d’aménagement qui devait servir d’atterrissage en cas d’urgence aux avions est occupée. Cette partie est prévue dans les cas où les avions ne peuvent pas s’abîmer en mer de "crasher" mais aujourd’hui si tel est le cas, ce sera un drame" dit-il.
Selon eux, 300 mètres de câbles ont été volés, ce qui aurait pu créer une catastrophe
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