C’est une véritable foudre qui s’est abattue sur les dirigeants polisariens et leurs marraines algériennes dont ils ne sont pas prêts de s’en relever.
En, effet après les récentes défections de nombreux sahraouis vers leur Patrie qu’est le Maroc à la faveur du programme d’échanges de familles supervisé par le HCR, l’entrée en dissidence d’une partie des miliciens polisariens et les manifestations pro-marocaines dans les camps des séquestrés de Tindouf la tension vient d’atteindre ces dernières heures son paroxisme.
Ainsi, plus 1000 sahraouis marocains ont manifesté, le 11 mai 2014, devant le siège du pseudo wilaya de Smara à Tindouf en raison de l’interdiction de construction de magasins commerciaux et exprimé leur total soutien au projet de large autonomie proposé par le Maroc.
Dans le camp des séquestrés dit «Laayoune», des émeutes ont éclaté, le même jour, au cours desquelles les protestataires ont incendié le soit-disant siège de cette prétendue wilaya et blessé son responsable.
Les sbires polisariens, aidés par la gendarmerie algérienne, dépassés par l’ampleur de ces émeutes, ont fait appel à des renforts pour maîtriser une situation explosive et les autorités algériennes viennent de décréter l’Etat d’alerte maximum à Tindouf et il va s’en dire que la répression sera féroce voir bestiale.
Aussi, il est urgent que la communauté internationale se mobilise pour éviter un massacre à huis clos dans les mourroirs de Tindouf. L’ONU devrait également dépêcher une mission d’urgence dans ces camps de Tindouf et ordonner aux forces onusiennes présentes à Tindouf d’assurer la protection de ces sahraouis marocains qui ne demandent qu’à rentrer dans leur pays, qu’est le Maroc.
J’ajouterai, que la presse algérienne se fait l’écho d’informations erronées sur des prétendues manifestations dans les provinces sahariennes marocaines. Des manifestations qui n’existent hélas que dans leur imaginaire. Par contre, celles bien réelles des camps de la honte de Tindouf sont passées sous silence.
Des évènements qui confirment que le polisario vit ses dernières heures et que le moment du retour à la Mère-Patrie, le Royaume du Maroc, des embastillés sahraouis vient de sonner. Les dirigeants polisariens se doivent dès aujourd’hui, de chercher une terre d’asile. Quant aux responsables algériens, ils se doivent de s’asseoir à la table avec les responsables marocains pour négocier une sortie honorable à ce conflit artificiel qu’ils ont créé.
Le Maroc est en droit d’exiger des autorités algériennes la protection de ses citoyens car les sahraouis embastillés dans les camps de Tindouf sont marocains. Ils viennent, une nouvelle fois, de faire la démonstration de leur marocanité. La fermeture de ces camps et le retour de tous les sahraouis marocains chez eux sont plus qu’une exigence. C’est un droit du Maroc de récupérer ses enfants et d’assurer leur protection.
En, effet après les récentes défections de nombreux sahraouis vers leur Patrie qu’est le Maroc à la faveur du programme d’échanges de familles supervisé par le HCR, l’entrée en dissidence d’une partie des miliciens polisariens et les manifestations pro-marocaines dans les camps des séquestrés de Tindouf la tension vient d’atteindre ces dernières heures son paroxisme.
Ainsi, plus 1000 sahraouis marocains ont manifesté, le 11 mai 2014, devant le siège du pseudo wilaya de Smara à Tindouf en raison de l’interdiction de construction de magasins commerciaux et exprimé leur total soutien au projet de large autonomie proposé par le Maroc.
Dans le camp des séquestrés dit «Laayoune», des émeutes ont éclaté, le même jour, au cours desquelles les protestataires ont incendié le soit-disant siège de cette prétendue wilaya et blessé son responsable.
Les sbires polisariens, aidés par la gendarmerie algérienne, dépassés par l’ampleur de ces émeutes, ont fait appel à des renforts pour maîtriser une situation explosive et les autorités algériennes viennent de décréter l’Etat d’alerte maximum à Tindouf et il va s’en dire que la répression sera féroce voir bestiale.
Aussi, il est urgent que la communauté internationale se mobilise pour éviter un massacre à huis clos dans les mourroirs de Tindouf. L’ONU devrait également dépêcher une mission d’urgence dans ces camps de Tindouf et ordonner aux forces onusiennes présentes à Tindouf d’assurer la protection de ces sahraouis marocains qui ne demandent qu’à rentrer dans leur pays, qu’est le Maroc.
J’ajouterai, que la presse algérienne se fait l’écho d’informations erronées sur des prétendues manifestations dans les provinces sahariennes marocaines. Des manifestations qui n’existent hélas que dans leur imaginaire. Par contre, celles bien réelles des camps de la honte de Tindouf sont passées sous silence.
Des évènements qui confirment que le polisario vit ses dernières heures et que le moment du retour à la Mère-Patrie, le Royaume du Maroc, des embastillés sahraouis vient de sonner. Les dirigeants polisariens se doivent dès aujourd’hui, de chercher une terre d’asile. Quant aux responsables algériens, ils se doivent de s’asseoir à la table avec les responsables marocains pour négocier une sortie honorable à ce conflit artificiel qu’ils ont créé.
Le Maroc est en droit d’exiger des autorités algériennes la protection de ses citoyens car les sahraouis embastillés dans les camps de Tindouf sont marocains. Ils viennent, une nouvelle fois, de faire la démonstration de leur marocanité. La fermeture de ces camps et le retour de tous les sahraouis marocains chez eux sont plus qu’une exigence. C’est un droit du Maroc de récupérer ses enfants et d’assurer leur protection.