Depuis quelques années, le Sénégal connait de réels problèmes d’accès à l’eau. Une situation qui a pousse l’Etat à changer de fournisseur en choisissant Sen’Eau. Mais les choses semblent empirer.
Ce qui a mis dans tous ses états le poète Amadou Lamine Sall qui, sur sa page Facebook, a fait une publication pour dénoncer les agissements de cette société française. Revenant sur les couts exorbitants pour avoir un compteur d’eau qui s’élève à 139.000 FCFA, il dénonce la cherté des frais de réparation des dommages causes âpres les travaux de la pose. Cela revient à 14.100 FCFA.
« Tout cela pour avoir le droit à l’eau et vivre tant soit peu ? », s’interroge Amadou Lamine Sall qui n’a pas manquer de relever le scandale des factures démesurées et douteuses qui ont conduit certaines familles à vivre aujourd’hui sans eau.
« J’en suis un témoin meurtri dans mon quartier. Devons-nous nous taire et laisser faire ? Il faut que l’on explique aux populations pourquoi dépenser autant pour avoir le droit a l’eau ? Ce n’est même pas un minima. C’est tout simplement un droit a la vie. Une vie un peu décente, un peu moins pénible ». Très en colère, il trouve que les citoyens sont pompes comme des vaches laitières.
« Et personne ne bouge. C’est silence radio, ou presque. Je ne crois pas une seule seconde que les autorités vont laisser continuer un tel traitement. Les preuves des taxes, prélèvements sont là ».
Poursuivant son réquisitoire, il soutient que les agences de Sen’Eau sont débordées par des réclamations de familles douloureusement impactées et démunies.
« J’en suis un temoin révolte et démuni. Construisons ce pays ensemble, mais en tenant compte de la fragilité du plus grand nombre », lance-t-il en guise de plaidoyer. Et Amadou Lamine Sall de se demander qui va protéger les Sénégalais face a Sen eau. « Je lance un appel a tous ceux qui peuvent agir ou influer sur la politique, les vicieuses et pernicieuses méthodes et stratégies de rentabilité de Sen’Eau, affirme-t-il. Il ajoute qu’il est temps d’aider les populations les plus fragiles à s’en sortir.
« Sen’Eau devrait en tenir compte en lieu et place de ruiner des démunis déjà ruines par la vie », tranche le poète.
L’As
Ce qui a mis dans tous ses états le poète Amadou Lamine Sall qui, sur sa page Facebook, a fait une publication pour dénoncer les agissements de cette société française. Revenant sur les couts exorbitants pour avoir un compteur d’eau qui s’élève à 139.000 FCFA, il dénonce la cherté des frais de réparation des dommages causes âpres les travaux de la pose. Cela revient à 14.100 FCFA.
« Tout cela pour avoir le droit à l’eau et vivre tant soit peu ? », s’interroge Amadou Lamine Sall qui n’a pas manquer de relever le scandale des factures démesurées et douteuses qui ont conduit certaines familles à vivre aujourd’hui sans eau.
« J’en suis un témoin meurtri dans mon quartier. Devons-nous nous taire et laisser faire ? Il faut que l’on explique aux populations pourquoi dépenser autant pour avoir le droit a l’eau ? Ce n’est même pas un minima. C’est tout simplement un droit a la vie. Une vie un peu décente, un peu moins pénible ». Très en colère, il trouve que les citoyens sont pompes comme des vaches laitières.
« Et personne ne bouge. C’est silence radio, ou presque. Je ne crois pas une seule seconde que les autorités vont laisser continuer un tel traitement. Les preuves des taxes, prélèvements sont là ».
Poursuivant son réquisitoire, il soutient que les agences de Sen’Eau sont débordées par des réclamations de familles douloureusement impactées et démunies.
« J’en suis un temoin révolte et démuni. Construisons ce pays ensemble, mais en tenant compte de la fragilité du plus grand nombre », lance-t-il en guise de plaidoyer. Et Amadou Lamine Sall de se demander qui va protéger les Sénégalais face a Sen eau. « Je lance un appel a tous ceux qui peuvent agir ou influer sur la politique, les vicieuses et pernicieuses méthodes et stratégies de rentabilité de Sen’Eau, affirme-t-il. Il ajoute qu’il est temps d’aider les populations les plus fragiles à s’en sortir.
« Sen’Eau devrait en tenir compte en lieu et place de ruiner des démunis déjà ruines par la vie », tranche le poète.
L’As