Les autorités ont ignoré l’avis du Conseil supérieur de la Magistrature. « Sur quelle base ces magistrats ont été désignés au détriment d’autres ? Ces méthodes sont peut être valables pour nommer le procureur au Rwanda, mais elles ne le sont pas au Sénégal. Peut-être que le ministre de la Justice est resté trop longtemps dans ces institutions internationales, au point d’oublier les lois de notre pays », a ironisé une source du journal L’As.Un autre magistrat, interrogé par la même source fait savoir que « la nomination d’un magistrat, à n’importe quel poste judiciaire, doit se faire à l’issue d’une réunion du Conseil supérieur de la Magistrature. Pour des besoins de célérité, on peut faire les consultations à domicile.
Dans ce cas, le Secrétaire du Conseil appelle et peut requérir les avis ». La source est convaincue que « la désignation de ces membres de la Crei ne s’est pas faite dans les règles de l’art, si l’on prend en compte la loi organique sur le statut des magistrats ". Selon le journal, si Me Seydou Diagne, initiateur de cette procédure, obtient gain de cause, ce sont tous ces dossiers d’audits et la cohorte de va-et-vient à la police et à la gendarmerie qui vont s’écrouler comme un château de cartes.
Lesenegalais.net
Dans ce cas, le Secrétaire du Conseil appelle et peut requérir les avis ». La source est convaincue que « la désignation de ces membres de la Crei ne s’est pas faite dans les règles de l’art, si l’on prend en compte la loi organique sur le statut des magistrats ". Selon le journal, si Me Seydou Diagne, initiateur de cette procédure, obtient gain de cause, ce sont tous ces dossiers d’audits et la cohorte de va-et-vient à la police et à la gendarmerie qui vont s’écrouler comme un château de cartes.
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