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Cours africaine des droits de l'Homme et des Peuples : Les Etats africains réticents à reconnaître sa compétence


Rédigé par leral.net le Vendredi 7 Septembre 2012 à 10:42 | | 1 commentaire(s)|

Cours africaine des droits de l'Homme et des Peuples : Les Etats africains réticents à reconnaître sa compétence
Créee en 1998 pour assurer une meilleur protection des droits de l'Homme en Afrique, la Cours afriaine des droits de l'Homme et des Peuples a, aujourd'hui du mal à fonctionner correctement. Pour cause, sur les 26 Etats de l'Union africaine qui en ont ratifié le protocole, seuls cinq d'entre eux ont fait la Déclaration de reconnaissant la compétence de la dite Cour, selon le jour L'Observateur.

Abdallah Sarr



1.Posté par Modou ngoné Fall Déguène Ndiaye le 07/09/2012 17:24 | Alerter
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Gambie : gangstérisme d’un Etat voyou. Mais jusqu’où ira-t-on avec ce voisin crée de toute pièce au cœur du Sénégal en 1965 ? Un repère de rebelles caïds insupportables !

La Cour africaine des droits de l'Homme et des Peuples : Les Etats africains réticents à reconnaître sa compétence. Normal puisque les Etats Africains sont sous tutelle de la nébuleuse internationale. Hissène Habré est victime des lobbies affairistes pour son indocilité à se soumettre. Idriss Déby est épargné de la CPI par sa vassalité. Yahyah Jammeh étant « un bon criminel », protège les intérêts impérialistes. Ce que l’on n’accorde pas à Gbagbo, on l’autorise en Gambie, un kyste au cœur du Sénégal.

Qui arrêtera donc le voyou Yahyah Jammeh ?
Pendant qu’on se focalise sur la Syrie des Assad, devenue encombrante, comme par hasard, pourtant lesquels reçurent tous les honneurs à leur rang outre atlantique bien des années, on déstabilise successivement le régime légal de Laurent Gbagbo par la ruse, au prétexte mensonger qu’il a perdu les élections en 2010, ce dernier est remplacé par une marionnette corrompue, appelée le sous préfet de la France, en la personne du putschiste, Alassane Ouattara, burkinabé de souche, sanguinaire, venu dans les fourgonnettes étrangères, sous la bienveillance d’une communauté internationale communautariste, complaisante, voilà que l’incubateur du multipartisme en côte d’ivoire, croupit au tribunal des blancs et des vainqueurs, les mêmes conspirateurs usant des mêmes mobiles décrétèrent une zone d’exclusion aérienne, soi-disant pour protéger les civils, modifient délibérément les objectifs au nom de l’onu, elle-même travestie en bras droit du conglomérat impérialiste, les assassinent pour les mettre sur le dos de Kadhafi, lui-même capturé et torturé à mort, sans oublier ses propres enfants exterminés.

Pendant ce temps, Yahyah Jammeh, l’égorgeur continue d’égrener son interminable liste macabre de victimes, sans que rien ne l’arrête, curieusement, les plus bavards, très excités, sur la question libyo-ivoirio syrienne, armant ouvertement ces bandits, font profil bas, lorsqu’il s’agit d’un pays pauvre sans ressources réelles, telle la Gambie d’un Yahyah Jammeh, très réconforté dans sa sale besogne.

Les appétits colonialistes par leur gourmandise, ont systématiquement installé une balkanisation à outrance au mépris des populations et créer les conditions de micros états au cœur de l’Afrique pour la rendre instable à jamais, à dessein d’en profiter, tant que cela continue.

Non seulement, depuis l’arrivée au pouvoir du putschiste barbare, ce minuscule pays crée de toute pièce par les anglais que rien n’explique, est devenu un repère absolu de renégats pour n’être que le bras armé de voyous rebelles pitoyablement criminels, impriment sa marque indélébile de délinquants incorrigibles, tuant, violant, rançonnant à longueur de journées des populations terrorisées dans leur quiétude.

Au nom du respect des frontières inviolables d’un Etat indépendant, souverain et libre, complice des atrocités qui n’ont que trop duré, le fourbe devenu fou, franchit la ligne rouge, tue des sénégalais à tout vent, sous le fallacieux prétexte qu’on lui aurait prédit une mort programmée, sans que personne n’intervienne vraiment pour recadrer ce monstre indigne. La seule solution qui vaille c’est de répondre au coup par coup pour déloger ces criminels de droit commun, jusqu’à pénétrer au cœur du voisin voyou. Un moyen de mettre fin à son régime dictatorial et le capturer vivant et le livrer au tribunal international. En ce moment là, la communauté internationale sera obligée de sortir de son silence. Et La paix reviendra.

On ne peut négocier avec des bandits aux mains sales, encore moins avec un pays qui se donne une puissance fausse. Non, la communauté internationale agit en fonction de ses propres intérêts colonialistes. Le soutien massif de ces années aux terroristes, déguisés en rebelles est devenu le nouvel ordre mondial du banditisme à visage découvert, sous couvert de mensonges, tendant à protéger des civils.

Ce que l’occident dénie aux autres, il ne l’accepte pas chez lui, mais l’applique ailleurs. Le développement se conçoit dans la stabilité et non le contraire. L’instabilité politique de l’Afrique nourrit l’occident qui en fait sa vache à lait. Quel est le pays digne qui acceptera d’être constamment harcelé jusqu’à l’infini ? La création de ce pays est une entorse délibérée, un péril et une menace réelle pour l’unité nationale et l’indépendance du Sénégal.

Modou ngoné Fall Déguène Ndiaye
Les vérités d’un internaute Africain solitaire

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