Les Pays de la frontière technologique se sont empressés de produire des vaccins classiques ou nouveaux à des prix variant entre 3 euros et 31 euros la dose: Etats Unis, Chine, et Etats Unis, Allemagne, Angleterre et Suède, et Russie.
L’OMS a lancé l’initiative COVACS soutenu par la fondation GAVY, destinée à aider les pays membres et éligibles à vacciner 20% de la population la plus vulnérable à fin décembre 2021.
Au Sénégal, sauf indication contraire du Sieur Diouf Sarr à la tête de 3000 cadres sérieux de l’APR, la population vulnérable tourne autour de 500.000 personnes, celles qui ont plus de soixante ans ou présentant des comorbidités. Donc, il faudrait un million de doses pour le Sénégal en 2021 si les conditions de conservation sont réunies.
Cependant, selon les chiffres de Macky Sall, il y a environ 500 décès du Covid 19 en 2020 et une baisse de l’activité économique de 6% du PIB à 2,2% soit 500 milliards de fcfa environ. Dans ses circonstances, pourquoi se précipiter à chercher des vaccins avec des pays dont l’objectif à court terme est de rentabiliser les centaines de millions d’euros investis pour produire les vaccins. L’Afrique a une population vingt fois plus importante que celle de l’Italie et enregistre le même nombre de décès Covid, 35.000. C’est donc l’Italie qui a intérêt à s’engager tout de suite dans un programme de vaccination. Et le Sénégal d’observer alors l’évolution de la pandémie dans ce pays. Il n’y a donc que la corruption du régime qui peut justifier cette frénésie pro - vaccin de BBY.
Ce qui est sûr, c’est que les masques marchent: ils protègent de la contamination. Le problème au Sénégal est la perte de crédibilité de la parole du gouvernement. Elle est incapable de convaincre. Le Sieur Moustapha Diop, qui a promis de nous industrialiser en deux ans ferait mieux de soutenir la production locale de masques, au lieu de nous laisser envahir par les importations de chine. Il est vrai qu’il est plus doué dans les opérations visant à rassembler les femmes dans les stades et à distribuer de l’argent public. En attendant, il faut renforcer les CTE pour la prise en charge des cas graves. Sur ce plan, Diouf Sarr a lamentablement échoué.
L’OMS a lancé l’initiative COVACS soutenu par la fondation GAVY, destinée à aider les pays membres et éligibles à vacciner 20% de la population la plus vulnérable à fin décembre 2021.
Au Sénégal, sauf indication contraire du Sieur Diouf Sarr à la tête de 3000 cadres sérieux de l’APR, la population vulnérable tourne autour de 500.000 personnes, celles qui ont plus de soixante ans ou présentant des comorbidités. Donc, il faudrait un million de doses pour le Sénégal en 2021 si les conditions de conservation sont réunies.
Cependant, selon les chiffres de Macky Sall, il y a environ 500 décès du Covid 19 en 2020 et une baisse de l’activité économique de 6% du PIB à 2,2% soit 500 milliards de fcfa environ. Dans ses circonstances, pourquoi se précipiter à chercher des vaccins avec des pays dont l’objectif à court terme est de rentabiliser les centaines de millions d’euros investis pour produire les vaccins. L’Afrique a une population vingt fois plus importante que celle de l’Italie et enregistre le même nombre de décès Covid, 35.000. C’est donc l’Italie qui a intérêt à s’engager tout de suite dans un programme de vaccination. Et le Sénégal d’observer alors l’évolution de la pandémie dans ce pays. Il n’y a donc que la corruption du régime qui peut justifier cette frénésie pro - vaccin de BBY.
Ce qui est sûr, c’est que les masques marchent: ils protègent de la contamination. Le problème au Sénégal est la perte de crédibilité de la parole du gouvernement. Elle est incapable de convaincre. Le Sieur Moustapha Diop, qui a promis de nous industrialiser en deux ans ferait mieux de soutenir la production locale de masques, au lieu de nous laisser envahir par les importations de chine. Il est vrai qu’il est plus doué dans les opérations visant à rassembler les femmes dans les stades et à distribuer de l’argent public. En attendant, il faut renforcer les CTE pour la prise en charge des cas graves. Sur ce plan, Diouf Sarr a lamentablement échoué.