La Covid-19 et politique a été le prétexte ce week-end, pour Leral, d’échanger sur la situation sanitaire du pays. Oumar Guèye, membre de l’Alliance pour la République, relevant la difficulté à endiguer la crise, est d’avis que d’autres conséquences seront attendues dans des pays du Tiers monde. « Depuis la date du 2 mars, le Président a pris plusieurs décisions sanitaires en décrétant l’état d’urgence et le confinement. Il a restreint la liberté des gens en laissant la possibilité aux populations de faire des démarches pour survivre. Le Sénégal ne peut pas aller vers un confinement total », a affirmé l’ancien coordonnateur national des étudiants de l’Apr, Oumar Guèye.
Ainsi, l’apériste précise que suivant le Ministre du Développement communautaire et de l’Equité sociale, l’aide est arrivée dans beaucoup de circonscriptions. Le problème, reconnaît-il, c’est la répartition par rapport aux prévisions. C’est les acteurs au niveau locale, c’est-à-dire, les maires et chefs de quartiers qui doivent aider à faire la bonne distribution. « Dès le début, le Président a senti la nécessité d’accompagner les populations dans la résilience. C’est les imprévus qui entrainent peut-être des couacs. Il n’y a pas de spécialistes qui ont eu à gérer une telle situation de crise », révèle Oumar Guèye.
Combattre la Covid-19, c’est combattre les impacts négatifs dans les secteurs clés. Il fallait que le Président prenne des mesures pour éviter des conséquences dramatiques. Il indique que la reprise des enseignements s’est faite dans une logique optimiste. « Il y a 500 000 élèves pour les examens. Le convoyage a posé le problème. Et, le Sénégal a effectué les 50 000 testés avec autant de guéris. Il y a l’option de maîtriser la pandémie. Après que 12 000 enseignants aient regagnés leurs postes, il a été signalé juste des cas de contamination », dit-il.
La Covid-19 recommande la contribution de tout le monde. « Tout le monde est acteur. La gestion de la Covid est en dents de scie. Elle ne doit pas être faite comme sur une ligne droite. Le Président a desserré pour libérer l’économie. Je demande un élan solidaire », invite-t-il.
A cet effet, il encourage à un gouvernement d’union nationale qui serait une bonne chose pour le devenir du pays. Et, il appelle à une implication des jeunes et de toutes les ressources dont dispose le Sénégal, pour arriver à bout de la pandémie.
Ainsi, l’apériste précise que suivant le Ministre du Développement communautaire et de l’Equité sociale, l’aide est arrivée dans beaucoup de circonscriptions. Le problème, reconnaît-il, c’est la répartition par rapport aux prévisions. C’est les acteurs au niveau locale, c’est-à-dire, les maires et chefs de quartiers qui doivent aider à faire la bonne distribution. « Dès le début, le Président a senti la nécessité d’accompagner les populations dans la résilience. C’est les imprévus qui entrainent peut-être des couacs. Il n’y a pas de spécialistes qui ont eu à gérer une telle situation de crise », révèle Oumar Guèye.
Combattre la Covid-19, c’est combattre les impacts négatifs dans les secteurs clés. Il fallait que le Président prenne des mesures pour éviter des conséquences dramatiques. Il indique que la reprise des enseignements s’est faite dans une logique optimiste. « Il y a 500 000 élèves pour les examens. Le convoyage a posé le problème. Et, le Sénégal a effectué les 50 000 testés avec autant de guéris. Il y a l’option de maîtriser la pandémie. Après que 12 000 enseignants aient regagnés leurs postes, il a été signalé juste des cas de contamination », dit-il.
La Covid-19 recommande la contribution de tout le monde. « Tout le monde est acteur. La gestion de la Covid est en dents de scie. Elle ne doit pas être faite comme sur une ligne droite. Le Président a desserré pour libérer l’économie. Je demande un élan solidaire », invite-t-il.
A cet effet, il encourage à un gouvernement d’union nationale qui serait une bonne chose pour le devenir du pays. Et, il appelle à une implication des jeunes et de toutes les ressources dont dispose le Sénégal, pour arriver à bout de la pandémie.