Durant ses 12 ans de règne à la « Mobutisme », le président Macky Sall n’aurait jamais pensé que son pouvoir n’est pas éternel ! En tout cas, il risque de subir les mêmes épreuves qu’il avait infligées à Karim Wade : l’exil ou la prison ? Après avoir été contraint de quitter le pays pour Qatar (Doha), Karim Wade dirigeait son parti (Pds) via WhatsApp. A un moment donné révèle « Le Témoin » quotidien, le fils de l’ex Chef de l’Etat Abdoulaye Wade voulait regagner le Sénégal, quitte à passer par la Mauritanie pour aller se réfugier directement à Touba. Informé de ce subterfuge de nature à troubler l’ordre, le président Macky Sall avait fait brandir l’arme de la contrainte par corps relative à l’amende de 138 milliards Cfa, à laquelle Karim Wade a été condamné en 2016. Aujourd’hui, l’ancien président Macky Sall est confronté à cette même situation depuis son exil de Marrakech (Maroc). Et son cas est pire que celui de Karim Wade, puisqu’il est accusé de crimes contre l’humanité (80 morts).
Des soupçons de détournement de fonds et d’enrichissement illicite planent aussi sur sa personne, immensément riche qu'il serait. D’ailleurs, rappelle « Le Témoin », une plainte a déjà été déposée en France contre Macky Sall et une demande d’enquête a été soumise à la Cour pénale internationale (CPI), à La Haye. Une chose est sûre, le président Macky Sall battra campagne via WhatsApp lors de ces prochaines élections législatives 2024.
Le Témoin
Des soupçons de détournement de fonds et d’enrichissement illicite planent aussi sur sa personne, immensément riche qu'il serait. D’ailleurs, rappelle « Le Témoin », une plainte a déjà été déposée en France contre Macky Sall et une demande d’enquête a été soumise à la Cour pénale internationale (CPI), à La Haye. Une chose est sûre, le président Macky Sall battra campagne via WhatsApp lors de ces prochaines élections législatives 2024.
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