La Loi du défunt député et défunt secrétaire général de l’Ong Jamra est-elle devenue encombrante ? Tout porte à le croire, puisque la question alimente le débat au niveau de l’opinion nationale après chaque Cour d’ Assises. Comme c’est le cas aujourd’hui, lundi, où un panel a réuni, des juristes et autres professionnels du droit pénal.
Ils sont nombreux ces professionnels de droit qui veulent, pour ne pas dire exiger la révision de ladite loi qui semble être à l’origine de l’engorgement des Maisons d’arrêts du pays. « La loi Abdou Latif Guèye, criminalisant la drogue dure est source de lenteur des procédures criminelles ; elle est à l’origine de l’engorgement des prisons car le délai d’attente devient souvent trop long », explique un avocat.
Il estime que « cette loi est, d’ailleurs, passible à la correctionnelle afin de désengorger les prisons et réduire le nombre des personnes inscrites au rôle au cours des Assises ». Mieux, il pense que les dispositions de l’Article 97 sont « aberrantes ».
Mais Mactar Guèye, frère du défunt député et auteur de ladite Loi, invite les uns et les autres à respecter, « l’esprit de la Loi Abdou Latif Guèye, même s’il aura une révision ».
La question de réviser la Loi Abdou Latif Guèye revient comme un leitmotiv avant et après chaque Cour d’Assises, en raison du nombre important de personnes inscrites au rôle pour ce délit. Une fois, d’ailleurs les responsables de l’Ong Jamra sont montés au créneau avant de menacer d’aller alerter les chefs religieux.
Ferloo
Ils sont nombreux ces professionnels de droit qui veulent, pour ne pas dire exiger la révision de ladite loi qui semble être à l’origine de l’engorgement des Maisons d’arrêts du pays. « La loi Abdou Latif Guèye, criminalisant la drogue dure est source de lenteur des procédures criminelles ; elle est à l’origine de l’engorgement des prisons car le délai d’attente devient souvent trop long », explique un avocat.
Il estime que « cette loi est, d’ailleurs, passible à la correctionnelle afin de désengorger les prisons et réduire le nombre des personnes inscrites au rôle au cours des Assises ». Mieux, il pense que les dispositions de l’Article 97 sont « aberrantes ».
Mais Mactar Guèye, frère du défunt député et auteur de ladite Loi, invite les uns et les autres à respecter, « l’esprit de la Loi Abdou Latif Guèye, même s’il aura une révision ».
La question de réviser la Loi Abdou Latif Guèye revient comme un leitmotiv avant et après chaque Cour d’Assises, en raison du nombre important de personnes inscrites au rôle pour ce délit. Une fois, d’ailleurs les responsables de l’Ong Jamra sont montés au créneau avant de menacer d’aller alerter les chefs religieux.
Ferloo