Dans un communiqué parvenu à leral.net, ils se disent convaincus que les acteurs politiques et les autorités étatiques doivent être soucieux de préserver les acquis démocratiques, fruits de longues années de lutte et de sacrifice de nos ancêtres, et de garantir la stabilité du pays, de respecter l’Etat de droit et l’indépendance de la justice.
« Considérons que la présomption d’innocence doit être respectée ainsi que le respect des droits humains dans toute procédure judiciaire entre différentes parties prenantes dans le cadre d’une action civile », soutient ce collectif qui regroupe une dizaine d’organisation.
Au regard des analyses des derniers événements, ils disent constater une crise de confiance profonde des citoyens à l’égard des institutions et déplorons la dégradation continue des rapports entre le pouvoir et l’opposition.
Ainsi ils appellent à la responsabilité des différentes parties prenantes afin d’éviter d’engager l’espace politique dans des tensions insoutenables en cette période de pandémie et :
- De faire preuve de plus de retenue et de courtoisie dans les déclarations qui doivent se faire sur un ton apaisé afin de préserver la paix sociale ;
- De respecter la présomption d’innocence à tout individu interpellé dans le cadre d’une procédure judiciaire ;
- D’exiger plus de professionnalisme et de responsabilité de la part des forces de l’ordre dans l’encadrement des manifestations afin d’éviter les dérapages.
- De rappeler que tous les sénégalais sont égaux aux yeux de la justice et que celle-ci doit traiter toute action judiciaire en toute impartialité
Les membres de la Société civile invitent les responsables des partis politiques à appeler leurs militants et surtout, la jeunesse à faire preuve de responsabilité citoyenne ainsi qu’au respect des biens publics. Par ailleurs, elle rappelle à tous les protagonistes au respect scrupuleux des textes qui régissent la loi liée à l’Etat d’urgence sanitaire.
Enfin, la Société civile invite la population à s’abstenir de diffuser sur les réseaux sociaux des images, textes et vidéos, incitant à la violence et à la haine, les conséquences de tels actes sont le plus souvent irréversibles.
AFRIKAJOM, OSIDEA, LSDH,
Cadre Unitaire du Sénégal, ONG 3D,
la RADDHO, Réseau SIGGIL JIGEEN, AfricTivistes,
le REPSFECO, le GRADEC
« Considérons que la présomption d’innocence doit être respectée ainsi que le respect des droits humains dans toute procédure judiciaire entre différentes parties prenantes dans le cadre d’une action civile », soutient ce collectif qui regroupe une dizaine d’organisation.
Au regard des analyses des derniers événements, ils disent constater une crise de confiance profonde des citoyens à l’égard des institutions et déplorons la dégradation continue des rapports entre le pouvoir et l’opposition.
Ainsi ils appellent à la responsabilité des différentes parties prenantes afin d’éviter d’engager l’espace politique dans des tensions insoutenables en cette période de pandémie et :
- De faire preuve de plus de retenue et de courtoisie dans les déclarations qui doivent se faire sur un ton apaisé afin de préserver la paix sociale ;
- De respecter la présomption d’innocence à tout individu interpellé dans le cadre d’une procédure judiciaire ;
- D’exiger plus de professionnalisme et de responsabilité de la part des forces de l’ordre dans l’encadrement des manifestations afin d’éviter les dérapages.
- De rappeler que tous les sénégalais sont égaux aux yeux de la justice et que celle-ci doit traiter toute action judiciaire en toute impartialité
Les membres de la Société civile invitent les responsables des partis politiques à appeler leurs militants et surtout, la jeunesse à faire preuve de responsabilité citoyenne ainsi qu’au respect des biens publics. Par ailleurs, elle rappelle à tous les protagonistes au respect scrupuleux des textes qui régissent la loi liée à l’Etat d’urgence sanitaire.
Enfin, la Société civile invite la population à s’abstenir de diffuser sur les réseaux sociaux des images, textes et vidéos, incitant à la violence et à la haine, les conséquences de tels actes sont le plus souvent irréversibles.
AFRIKAJOM, OSIDEA, LSDH,
Cadre Unitaire du Sénégal, ONG 3D,
la RADDHO, Réseau SIGGIL JIGEEN, AfricTivistes,
le REPSFECO, le GRADEC