En clôturant, vendredi, cette rencontre qui a duré trois jours, les organisateurs ont passé au peigne fin les difficultés qui minent le secteur de l’énergie. Présentant le sous-thème qui portait sur la problématique de la qualité de service de l’électricité, Babacar Guèye, ancien Directeur général de la Société de gestion de Manantali (Sogem) est d’abord largement revenu sur les causes ayant entrainé les coupures intempestives, notées ces derniers temps.
De l’avis de M. Guèye, cette crise énergétique est liée à un déficit de production, au réseau de transport. Se voulant plus explicite, il énumère les différentes causes, comme suit, ayant entrainé des déséquilibres dans la fourniture de l’électricité pour l’année 2012. Les incidents réseaux, plus importants, représentaient 56%, suivis des travaux de manœuvre 20%, surcharge et faible tension 15%, ensuite, le manque de production avec 6%, vient enfin, incident groupe qui représentait 4%.
A en croire M. Guèye, l’année où on a noté beaucoup plus de coupures reste 2011 avec 286 jours de délestage. Ainsi pour faire face à ces problèmes énergétiques, Babacar Guèye préconise un certain nombre de solutions. Il juge nécessaire de remédier au manque de combustible, accroitre la production de l’électricité, réduire les incidents du réseau en renforçant et créant des circuits redoutant. S’y ajoute l’introduction de la maintenance préventive.
A. DIAW
De l’avis de M. Guèye, cette crise énergétique est liée à un déficit de production, au réseau de transport. Se voulant plus explicite, il énumère les différentes causes, comme suit, ayant entrainé des déséquilibres dans la fourniture de l’électricité pour l’année 2012. Les incidents réseaux, plus importants, représentaient 56%, suivis des travaux de manœuvre 20%, surcharge et faible tension 15%, ensuite, le manque de production avec 6%, vient enfin, incident groupe qui représentait 4%.
A en croire M. Guèye, l’année où on a noté beaucoup plus de coupures reste 2011 avec 286 jours de délestage. Ainsi pour faire face à ces problèmes énergétiques, Babacar Guèye préconise un certain nombre de solutions. Il juge nécessaire de remédier au manque de combustible, accroitre la production de l’électricité, réduire les incidents du réseau en renforçant et créant des circuits redoutant. S’y ajoute l’introduction de la maintenance préventive.
A. DIAW
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