Les pourparlers inter Libyens se sont ouvertes vendredi au Centre de conférences internationales Abdou Diouf à Diamniadio, a annoncé la présidence sénégalaise.
"Les différentes composantes du conflit se retrouvent au Sénégal pour échanger sur les voies et moyens de trouver une solution", indique la présidence dans un communiqué transmis à l’APS.
La même source précise qu’à la demande du président Congolais Denis Sassou Nguesso, Médiateur de l’UA pour la Libye, le Président Macky Sall "a facilité ces concertations".
"La Fondation Brazzaville a également joué un rôle déterminant dans la tenue de ces pourparlers", note le communiqué, saluant "des efforts appréciables pour arriver à la sortie de crise et une paix durable".
Depuis la chute en 2011 de Kadhafi qui a entraîné la désintégration de l’appareil sécuritaire, la Libye est déchirée par des luttes d’influence que se livrent dans l’impunité la plus totale, les nombreuses milices mais aussi les dizaines de tribus, composantes essentielles de la société libyenne.
Profitant de l’anarchie, le groupe Etat islamique (EI) y a mis un pied, en occupant durant des mois la ville natale de Kadhafi, Syrte, avant d’en être chassé en décembre 2016. Mais même affaiblis, les jihadistes rôdent toujours dans le désert et constituent une menace persistante.
"Les différentes composantes du conflit se retrouvent au Sénégal pour échanger sur les voies et moyens de trouver une solution", indique la présidence dans un communiqué transmis à l’APS.
La même source précise qu’à la demande du président Congolais Denis Sassou Nguesso, Médiateur de l’UA pour la Libye, le Président Macky Sall "a facilité ces concertations".
"La Fondation Brazzaville a également joué un rôle déterminant dans la tenue de ces pourparlers", note le communiqué, saluant "des efforts appréciables pour arriver à la sortie de crise et une paix durable".
Depuis la chute en 2011 de Kadhafi qui a entraîné la désintégration de l’appareil sécuritaire, la Libye est déchirée par des luttes d’influence que se livrent dans l’impunité la plus totale, les nombreuses milices mais aussi les dizaines de tribus, composantes essentielles de la société libyenne.
Profitant de l’anarchie, le groupe Etat islamique (EI) y a mis un pied, en occupant durant des mois la ville natale de Kadhafi, Syrte, avant d’en être chassé en décembre 2016. Mais même affaiblis, les jihadistes rôdent toujours dans le désert et constituent une menace persistante.