Ainsi, le premier ministre de l’Education du premier gouvernement du Sénégal indépendant ne s’est pas fait prier pour mettre le doigt sur les maux qui gangrènent le système éducatif sénégalais depuis plusieurs décennies. « Trop de difficultés se sont accumulées », précise-t-il, avant de s’empresser d’ajouter que « cette situation qui s’est aggravée avec le régime libéral qui a préféré la quantité que la qualité ».
En tout état de cause, il conseille au remplaçant de Kalidou Diallo de tout faire pour sauver l’année, puisque « une année blanche est une véritable perte et pour les élèves et pour le gouvernement ». Ainsi, il demande à Ibrahima Sall de faire preuve de patience et d’écoute tout en discutant avec tous les acteurs de l’école en vue d’amener les élèves à reprendre le chemin de l’école.
Aussi, se montre-t-il disposé à répondre aux sollicitations du ministre de l’Education, Ibrahima Sall. Ce dernier s’est félicité d’abord des sages conseils d’Amadou Makhtar Mbow, avant de promettre de les appliquer pour sauver l’année scolaire. D’autant plus que, précise-t-il, « les 90% des syndicaux d’enseignants sont prêts à reprendre les cours pour sauver l’année ».
« Une année blanche peut coûter à l’Etat du Sénégal jusqu’à 300 milliards de nos francs, sans compter le retard qu’elle entraine chez les élèves », explique Ibrahima Sall, le ministre de l’Education, qui fustige au passage, l’attitude des élèves qui refusent de reprendre le chemin de l’école mais aussi qui empêchent les autres de suivre leurs cours.
Ferloo.com
En tout état de cause, il conseille au remplaçant de Kalidou Diallo de tout faire pour sauver l’année, puisque « une année blanche est une véritable perte et pour les élèves et pour le gouvernement ». Ainsi, il demande à Ibrahima Sall de faire preuve de patience et d’écoute tout en discutant avec tous les acteurs de l’école en vue d’amener les élèves à reprendre le chemin de l’école.
Aussi, se montre-t-il disposé à répondre aux sollicitations du ministre de l’Education, Ibrahima Sall. Ce dernier s’est félicité d’abord des sages conseils d’Amadou Makhtar Mbow, avant de promettre de les appliquer pour sauver l’année scolaire. D’autant plus que, précise-t-il, « les 90% des syndicaux d’enseignants sont prêts à reprendre les cours pour sauver l’année ».
« Une année blanche peut coûter à l’Etat du Sénégal jusqu’à 300 milliards de nos francs, sans compter le retard qu’elle entraine chez les élèves », explique Ibrahima Sall, le ministre de l’Education, qui fustige au passage, l’attitude des élèves qui refusent de reprendre le chemin de l’école mais aussi qui empêchent les autres de suivre leurs cours.
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