Mamadou Lamine Diallo a donné la voie à suivre au Sénégal lors d’une conférence qu’il a animée sur le thème : «Quelles politiques au Sénégal pour arriver à un taux de croissance de 8 à 10% par an ?». Les conditions pour atteindre ce taux de croissance sont nombreuses et impliquent plusieurs secteurs d’activités. Ça va de la santé, à l’aménagement du territoire en passant pat la santé. «Si nous voulons avoir une croissance économique de 10% avec une telle efficacité, dit, l’économiste, il nous faut environ 60 à 70% du Pib d’investissements». «Si nous voulons avoir cette croissance, il nous faut améliorer le capital, de l’investissement pour parvenir», a-t-il ajouté. Mamadou lamine Diallo est cité par le quotidien Walfadjri dans son édition du 29 mai 2012. Tout est lié et rien n’est isolé.
C’est pourquoi, pour l’ancien fonctionnaire de la commission de l’Union africaine, l’amélioration de l’efficacité de l’investissement doit être un travail basé sur «les ressources humaines et l’aménagement du territoire». Mais que vaut une économie dans un environnement où la démocratie n’est pas bien assise ? Certainement pas grand-chose. C’est pourquoi le patron du mouvement politique Tekki, estime que le Sénégal doit également asseoir les fondements démocratiques et citoyens pour réussir ce pari de la croissance à 2 chiffres. La lutte contre l’inflation et le déficit budgétaire sont un autre paire de manche qui peuvent plaider en faveur de cet objectif.
Par ailleurs, aucune économie ne peut fonctionner sans énergie. Or, au Sénégal, la question énergétique a été, sans conteste, celle qui a le plus durement éprouvé le règne de l’ancien président, Me Abdoulaye Wade. Par conséquent, cette question mérite aussi d’être résolue au plus vite. «L’émergence, c’est l’électricité et les bonnes institutions. Si nous voulons avoir une croissance économique, il faut prévoir que chaque année, il y aura 14% de croissance de la demande en électricité», a souligné Mamadou Lamine Diallo.
SOURCE:lesenegalais.net
C’est pourquoi, pour l’ancien fonctionnaire de la commission de l’Union africaine, l’amélioration de l’efficacité de l’investissement doit être un travail basé sur «les ressources humaines et l’aménagement du territoire». Mais que vaut une économie dans un environnement où la démocratie n’est pas bien assise ? Certainement pas grand-chose. C’est pourquoi le patron du mouvement politique Tekki, estime que le Sénégal doit également asseoir les fondements démocratiques et citoyens pour réussir ce pari de la croissance à 2 chiffres. La lutte contre l’inflation et le déficit budgétaire sont un autre paire de manche qui peuvent plaider en faveur de cet objectif.
Par ailleurs, aucune économie ne peut fonctionner sans énergie. Or, au Sénégal, la question énergétique a été, sans conteste, celle qui a le plus durement éprouvé le règne de l’ancien président, Me Abdoulaye Wade. Par conséquent, cette question mérite aussi d’être résolue au plus vite. «L’émergence, c’est l’électricité et les bonnes institutions. Si nous voulons avoir une croissance économique, il faut prévoir que chaque année, il y aura 14% de croissance de la demande en électricité», a souligné Mamadou Lamine Diallo.
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