L'adresse c'est 14 , Avenue Nelson Mandéla Dakar
Une transaction initiale controversée
Un bien immobilier de 1000 m², appartenant au patrimoine bâti de l'État sénégalais, a été cédé à seulement 30 millions de FCFA (environ 45 700 euros). Ce montant, jugé dérisoire pour un bien situé à un emplacement stratégique, interpelle sur les conditions de cette transaction. L'acquéreur, Mme Lecoq, est la fille d’un ancien magistrat français ayant servi au Sénégal et décédé il y a plus de deux décennies.
Cette transaction pose question, notamment sur le rôle d’un ancien ministre des Finances, à l'origine de cette vente. L'absence de transparence dans le processus alimente les soupçons d’irrégularités.
Une revente qui fait scandale
Quelques mois après cette acquisition, Mme Lecoq revend la maison devant notaire à 1 milliard de FCFA (environ 1,5 million d’euros). Ce gain spectaculaire met en lumière les écarts entre le prix initial et la valeur réelle du bien.
La maison, en plus de sa superficie de 600 m², est idéalement située dans l’un des quartiers les plus prisés de Dakar. Cette localisation, en face de l’hôpital Principal, ajoute à la valeur stratégique de la propriété.
Un bien appartenant à l'État occupé par un haut fonctionnaire à l'époque
Avant cette vente, le bien était occupé par un haut fonctionnaire sénégalais depuis plusieurs années. Il s’agissait d’une propriété bâtie sur un terrain appartenant au patrimoine immobilier de l’État. Cette situation soulève des interrogations :
Pourquoi ce bien a-t-il été cédé à un particulier à un prix aussi bas ?
Quelles ont été les modalités d'attribution de ce terrain stratégique ?
Où sont passés les fonds issus de cette vente ?
Appels à la justice : le Pôle judiciaire interpellé
Des voix s'élèvent pour demander des enquêtes approfondies sur cette transaction. Le Pôle judiciaire, en charge des affaires de grande corruption, est appelé à se saisir du dossier.
Le leader politique Ousmane Sonko, connu pour ses positions critiques sur la gestion des biens publics, est parmi ceux qui demandent des réponses. Selon lui, cette affaire reflète une gestion défaillante et opaque du patrimoine de l'État, au détriment des citoyens sénégalais.
Un cas parmi d'autres ?
Cette affaire pose une question cruciale : combien d'autres biens de l'État ont été vendus dans des conditions similaires ? Le manque de contrôle et de transparence dans la gestion du patrimoine public pourrait être un problème plus vaste, nécessitant un audit national.
Une affaire qui interpelle sur la gouvernance publique
Ce scandale, symbole de la dilapidation du patrimoine de l'État, ne peut rester sans suite. Alors que le Sénégal aspire à plus de transparence et de justice, ce cas illustre l’urgence de revoir les procédures de gestion des biens publics.
Le peuple sénégalais attend des réponses et des actions concrètes pour mettre fin à ces pratiques qui minent la confiance dans les institutions publiques.
Un bien immobilier de 1000 m², appartenant au patrimoine bâti de l'État sénégalais, a été cédé à seulement 30 millions de FCFA (environ 45 700 euros). Ce montant, jugé dérisoire pour un bien situé à un emplacement stratégique, interpelle sur les conditions de cette transaction. L'acquéreur, Mme Lecoq, est la fille d’un ancien magistrat français ayant servi au Sénégal et décédé il y a plus de deux décennies.
Cette transaction pose question, notamment sur le rôle d’un ancien ministre des Finances, à l'origine de cette vente. L'absence de transparence dans le processus alimente les soupçons d’irrégularités.
Une revente qui fait scandale
Quelques mois après cette acquisition, Mme Lecoq revend la maison devant notaire à 1 milliard de FCFA (environ 1,5 million d’euros). Ce gain spectaculaire met en lumière les écarts entre le prix initial et la valeur réelle du bien.
La maison, en plus de sa superficie de 600 m², est idéalement située dans l’un des quartiers les plus prisés de Dakar. Cette localisation, en face de l’hôpital Principal, ajoute à la valeur stratégique de la propriété.
Un bien appartenant à l'État occupé par un haut fonctionnaire à l'époque
Avant cette vente, le bien était occupé par un haut fonctionnaire sénégalais depuis plusieurs années. Il s’agissait d’une propriété bâtie sur un terrain appartenant au patrimoine immobilier de l’État. Cette situation soulève des interrogations :
Pourquoi ce bien a-t-il été cédé à un particulier à un prix aussi bas ?
Quelles ont été les modalités d'attribution de ce terrain stratégique ?
Où sont passés les fonds issus de cette vente ?
Appels à la justice : le Pôle judiciaire interpellé
Des voix s'élèvent pour demander des enquêtes approfondies sur cette transaction. Le Pôle judiciaire, en charge des affaires de grande corruption, est appelé à se saisir du dossier.
Le leader politique Ousmane Sonko, connu pour ses positions critiques sur la gestion des biens publics, est parmi ceux qui demandent des réponses. Selon lui, cette affaire reflète une gestion défaillante et opaque du patrimoine de l'État, au détriment des citoyens sénégalais.
Un cas parmi d'autres ?
Cette affaire pose une question cruciale : combien d'autres biens de l'État ont été vendus dans des conditions similaires ? Le manque de contrôle et de transparence dans la gestion du patrimoine public pourrait être un problème plus vaste, nécessitant un audit national.
Une affaire qui interpelle sur la gouvernance publique
Ce scandale, symbole de la dilapidation du patrimoine de l'État, ne peut rester sans suite. Alors que le Sénégal aspire à plus de transparence et de justice, ce cas illustre l’urgence de revoir les procédures de gestion des biens publics.
Le peuple sénégalais attend des réponses et des actions concrètes pour mettre fin à ces pratiques qui minent la confiance dans les institutions publiques.