Arrêté le 18 mars 2025 et placé sous mandat de dépôt, M. Top est poursuivi pour « diffusion de fausses nouvelles, discours contraires aux bonnes mœurs, propos incitant à la discrimination ethnique et diffamation envers un groupe de personnes en raison de leur origine, par un moyen de diffusion publique ».
Un appel à la clémence en période de Ramadan et de Carême
Les organisations signataires soulignent que M. Aliou Top a rapidement reconnu la portée de ses propos, en retirant le contenu incriminé et en présentant des excuses publiques à la communauté concernée. Ce geste témoigne, selon elles, d’une volonté de réparation et d’apaisement.
Dans ce contexte marqué par le Ramadan et le Carême, périodes de pardon et de réconciliation, elles appellent les autorités judiciaires à lui accorder une liberté provisoire, afin qu’il puisse comparaître libre le 2 avril 2025. Une telle mesure serait, selon elles, un acte de justice empreint d’équité, d’autant plus que l’intéressé a manifesté des remords sincères et entrepris des démarches réparatrices.
Un engagement pour la liberté d’expression responsable
Tout en réitérant leur appel à la clémence, APPEL, SYNPICS, MIAMSI-Sénégal et ADHA réaffirment leur engagement en faveur des droits humains, de la liberté d’expression responsable et du respect de la diversité culturelle. Elles exhortent les autorités compétentes à examiner cette demande avec discernement, en privilégiant une approche conforme aux principes de justice et aux valeurs de tolérance qui fondent la société sénégalaise.
Un appel à la clémence en période de Ramadan et de Carême
Les organisations signataires soulignent que M. Aliou Top a rapidement reconnu la portée de ses propos, en retirant le contenu incriminé et en présentant des excuses publiques à la communauté concernée. Ce geste témoigne, selon elles, d’une volonté de réparation et d’apaisement.
Dans ce contexte marqué par le Ramadan et le Carême, périodes de pardon et de réconciliation, elles appellent les autorités judiciaires à lui accorder une liberté provisoire, afin qu’il puisse comparaître libre le 2 avril 2025. Une telle mesure serait, selon elles, un acte de justice empreint d’équité, d’autant plus que l’intéressé a manifesté des remords sincères et entrepris des démarches réparatrices.
Un engagement pour la liberté d’expression responsable
Tout en réitérant leur appel à la clémence, APPEL, SYNPICS, MIAMSI-Sénégal et ADHA réaffirment leur engagement en faveur des droits humains, de la liberté d’expression responsable et du respect de la diversité culturelle. Elles exhortent les autorités compétentes à examiner cette demande avec discernement, en privilégiant une approche conforme aux principes de justice et aux valeurs de tolérance qui fondent la société sénégalaise.