Ils n’ont que du mépris pour Karim Wade. Eux, ce sont les membres de la Plateforme nationale pour une démocratie libérale (Pndl). Au cours d’une conférence de presse tenue ce vendredi, ces jeunes libéraux n’ont pas été particulièrement tendres avec le fils d’Abdoulaye Wade et leader de la « Génération du concret ». C’est d’abord Mouhamed Mbow, membre de la Pndl, qui sonne la charge contre « les laudateurs, troubadours et démagogues qui peuplent le Parti démocratique sénégalais (Pds) » et qui sont, selon lui, « aveuglés, ne voyant pas que le parti s’est engagé sur une pente dangereuse à cause de l’accumulation de frustrations ». Mais, avertit Mbow, « on ne toléra plus certains comportements car le Pds a pour mission de satisfaire la demande sociale et l’emploi des jeunes ».
Aussitôt Mouhamed Mbow a-t-il terminé que le coordonnateur de la Pndl prend le témoin. Et quand Cheikh Ndoye s’y met, c’est pour cracher des vertes et des pas mûres sur Karim Wade et son mouvement de la « Génération du concret » qui est, d’après lui, « dirigée par un chef d’orchestre arrogant, incompétent, et entouré de vautours et de perroquets grossiers qui font de la charte fondamentale du parti un cahier de brouillon ».
Selon le coordonnateur de la Pndl, le parti de Wade est sous la hantise d’une « profonde léthargie », mais aussi de « luttes fratricides ». Et il en veut pour preuve « les scissions que vit le Pds », mais également « les querelles et les batailles de positionnement ». Et, d’après Cheikh Ndoye, cette situation doit cesser avant les échéances cruciales de 2012. Abdou Salam Touré
Aussitôt Mouhamed Mbow a-t-il terminé que le coordonnateur de la Pndl prend le témoin. Et quand Cheikh Ndoye s’y met, c’est pour cracher des vertes et des pas mûres sur Karim Wade et son mouvement de la « Génération du concret » qui est, d’après lui, « dirigée par un chef d’orchestre arrogant, incompétent, et entouré de vautours et de perroquets grossiers qui font de la charte fondamentale du parti un cahier de brouillon ».
Selon le coordonnateur de la Pndl, le parti de Wade est sous la hantise d’une « profonde léthargie », mais aussi de « luttes fratricides ». Et il en veut pour preuve « les scissions que vit le Pds », mais également « les querelles et les batailles de positionnement ». Et, d’après Cheikh Ndoye, cette situation doit cesser avant les échéances cruciales de 2012. Abdou Salam Touré