C’est à l’occasion d’un point de presse que le patron de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes) a répliqué contre la sortie du ministre de l’Economie et des Finances, Abdoulaye Diop qui estimait que la Cnes ne peut pas parler pour les entreprises car elle n’est pas représentative.
« Le problème de la dette ne peut pas être réglé par des déclarations intempestives. À la Cnes, nous ne sommes pas des partisans du registre des invectives, notre éducation ne nous le permet même pas » a dit d’emblée Mansour Kama avant de décocher des flèches sur Abdoulaye Diop.
« Au lendemain de sa sortie, j’ai reçu une lettre signée le 20 juillet par M. Abdoulaye Diop et estampillée « confidentiel ». Dans cette lettre en réponse à ma lettre du 3 juillet, le ministre de l’Economie reconnaît que la dette est épongée à 80 %. Cette lettre est un aveu circonstancié », dit-il avant de renseigner que les 20% impayés représentent plus de 30 milliards.
Très en colère contre le ministre des Finances, le patron du Cnes ajoute que c’est « sa responsabilité dans l’échec de la gestion des finances publiques le pousse à chercher des boucs-émissaires ».
Kama de prendre tout le monde à témoin en soutenant que tout ce qu’il dit est prouvé par des documents et des chiffres incontestables. Décochant sa dernière flèche, il lance tout de go que « dans un Etat sérieux, on devait le (Abdoulaye Diop) rappeler à l’ordre après ses virements suspects.
« Le problème de la dette ne peut pas être réglé par des déclarations intempestives. À la Cnes, nous ne sommes pas des partisans du registre des invectives, notre éducation ne nous le permet même pas » a dit d’emblée Mansour Kama avant de décocher des flèches sur Abdoulaye Diop.
« Au lendemain de sa sortie, j’ai reçu une lettre signée le 20 juillet par M. Abdoulaye Diop et estampillée « confidentiel ». Dans cette lettre en réponse à ma lettre du 3 juillet, le ministre de l’Economie reconnaît que la dette est épongée à 80 %. Cette lettre est un aveu circonstancié », dit-il avant de renseigner que les 20% impayés représentent plus de 30 milliards.
Très en colère contre le ministre des Finances, le patron du Cnes ajoute que c’est « sa responsabilité dans l’échec de la gestion des finances publiques le pousse à chercher des boucs-émissaires ».
Kama de prendre tout le monde à témoin en soutenant que tout ce qu’il dit est prouvé par des documents et des chiffres incontestables. Décochant sa dernière flèche, il lance tout de go que « dans un Etat sérieux, on devait le (Abdoulaye Diop) rappeler à l’ordre après ses virements suspects.