Awa Kébé, pensionnaire de la Maison d’arrêt et de correction, a voulu mettre fin aux jours de son bébé de sexe masculin qu’elle venait de mettre au monde. Ce sont les cris de l’enfant dont la tête était enfoncée dans un tuyau des toilettes du pavillon des femmes, qui ont alerté la surveillante Ndèye Maguette Bâ, responsable du quartier des femmes. D’ailleurs, cette garde pénitentiaire, affirment des sources bien informées et proches de la Maison d’arrêt et de correction avait, dès le matin du mercredi 22 avril, suspecté les attitudes douteuses de la détenue qui faisait des va-et-vient incessants entre le lieu du crime et le pavillon. Sur ces entrefaites, l’enfant sera extrait du trou où il était coincé. Avec sa maman, ils seront déposés au district sanitaire, pour les premiers soins.
Awa Kébé qui attend d’être fixé sur son sort pour le délit d’infanticide commis, il y a de cela deux ans, devra aussi répondre de cet acte odieux. Selon des sources dignes de foi, Awa Kébé serait enceinte des œuvres d’un détenu du nom de Mara, qui vient d’être élargi de prison pour une peine déjà purgée.
le quotidien
Awa Kébé qui attend d’être fixé sur son sort pour le délit d’infanticide commis, il y a de cela deux ans, devra aussi répondre de cet acte odieux. Selon des sources dignes de foi, Awa Kébé serait enceinte des œuvres d’un détenu du nom de Mara, qui vient d’être élargi de prison pour une peine déjà purgée.
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