Anne Sinclair, après l'avoir achetée en 2007 pour quelque 4 millions de dollars et l'avoir redécorée de fond en comble, l'avait mise en vente 5,2 millions (4 millions d'euros) en septembre 2011. Elle a dû consentir depuis un rabais de 500 000 dollars pour convaincre des acheteurs qui ne se manifestent toujours pas.
Dans les réceptions données par les ambassades, c'est désormais la nouvelle patronne du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, qui est fêtée. Le nom de Dominique Strauss-Kahn n'y est que rarement prononcé. Ceux qui l'ont côtoyé à Washington continuent pourtant d'en parler à mots couverts, et reconstituent à l'infini les pièces d'un puzzle dessinant la double personnalité de DSK.
'Le 25 janvier 2010, se souvient l'un des économistes du FMI, il devait être l'invité de la traditionnelle galette des rois qui réunit chaque année économistes et employés français du FMI et de la Banque mondiale', deux institutions qui se font face, au coeur de la capitale américaine. L'événement n'a pas d'importance autre que celle de réunir ces exilés volontaires. DSK y était cependant attendu comme une vedette. 'Deux heures avant la petite fête, il a appelé pour annuler sa venue : 'Je suis grippé', assurait-il. Ce n'est qu'ensuite, en lisant la presse française, que nous avons fait le rapprochement...'
Dans les réceptions données par les ambassades, c'est désormais la nouvelle patronne du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, qui est fêtée. Le nom de Dominique Strauss-Kahn n'y est que rarement prononcé. Ceux qui l'ont côtoyé à Washington continuent pourtant d'en parler à mots couverts, et reconstituent à l'infini les pièces d'un puzzle dessinant la double personnalité de DSK.
'Le 25 janvier 2010, se souvient l'un des économistes du FMI, il devait être l'invité de la traditionnelle galette des rois qui réunit chaque année économistes et employés français du FMI et de la Banque mondiale', deux institutions qui se font face, au coeur de la capitale américaine. L'événement n'a pas d'importance autre que celle de réunir ces exilés volontaires. DSK y était cependant attendu comme une vedette. 'Deux heures avant la petite fête, il a appelé pour annuler sa venue : 'Je suis grippé', assurait-il. Ce n'est qu'ensuite, en lisant la presse française, que nous avons fait le rapprochement...'