Enfin l'épilogue de l'affaire DSK? Le 12 septembre, alors qu’il était entendu par la police judiciaire, Dominique Strauss-Kahn a livré sa version de l'agression sexuelle présumée de Tristane Banon, rapporte lexpress.fr. Si la journaliste l’accuse de tentative de viol, DSK explique de son côté qu’il a tenté de l’embrasser, qu'il lui a fait des «avances», pensant qu’elle était consentante. Devant le refus de la jeune femme, l’ancien directeur du FMI n’aurait pas insisté et, selon lui, la jeune femme s’en serait allée tout à fait normalement.
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Un récit bien différent de celui de la journaliste: «Quand j'ai voulu m'en aller, il m'a attrapé la main puis le bras, je lui ai demandé de me lâcher, et c'est de là qu'est partie la bagarre. Il m'a tiré vers lui, on est tombés par terre et on s'est battus.»
Le parquet de Paris a maintenant le choix entre plusieurs options. Il peut, soit ordonner une confrontation entre les deux partis, soit classer l’affaire au motif que la tentative de viol ne serait pas établie. Il pourrait estimer que les faits s’apparentent plus à une agression sexuelle et seraient donc prescrits, précise le site.
20minutes
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Un récit bien différent de celui de la journaliste: «Quand j'ai voulu m'en aller, il m'a attrapé la main puis le bras, je lui ai demandé de me lâcher, et c'est de là qu'est partie la bagarre. Il m'a tiré vers lui, on est tombés par terre et on s'est battus.»
Le parquet de Paris a maintenant le choix entre plusieurs options. Il peut, soit ordonner une confrontation entre les deux partis, soit classer l’affaire au motif que la tentative de viol ne serait pas établie. Il pourrait estimer que les faits s’apparentent plus à une agression sexuelle et seraient donc prescrits, précise le site.
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