Pose devant la nouvelle pompe du puits installée cette année. PHOTO DR
« C'est en 2000 que j'ai commencé à faire des missions officielles à l'étranger pour le compte du groupement des retraités éducateurs sans frontières (Gref), explique Claude Caroit. La première fois, j'ai passé dix-sept semaines là-bas à enseigner aux enfants avec les moyens du bord. »
Donner un coup de main
Partie sans son époux, Claude s'était juré d'y retourner avec lui. Depuis, presque chaque année, ils y retournent en simples particuliers, donner un coup de main. En 2001, le petit village sénégalais qui compte une dizaine de cases avait douze enfants scolarisés.
« Aujourd'hui, ils sont une trentaine à aller à l'école de Gandigal située à cinq kilomètres. », précise Claude. Depuis 2006, le club service féminin Soroptimist de Royan vient en aide financièrement au village sénégalais. « Ainsi, nous avons pu construire une case à palabres. » raconte, Mme Caroit.
Devenir l'instituteur du village
Parmi les autres actions menées, il y a eu l'achat de matériel scolaire (livres, cahiers, feutres, craies). L'école de la Clairière, à Royan, a donné un petit coup de pouce. « L'argent récolté cette année, a permis d'installer une pompe manuelle pour le puits, d'électrifier deux habitations de plus. », détaille cette ancienne enseignante.
Dix ans après, Claude est touchée par le parcours de Sangué Dieng, « Je l'ai connu, il avait six ans. Aujourd'hui, il vient d'entrer en seconde au lycée de Saly et souhaite devenir l'instituteur de Keur Youngar. »
Donner un coup de main
Partie sans son époux, Claude s'était juré d'y retourner avec lui. Depuis, presque chaque année, ils y retournent en simples particuliers, donner un coup de main. En 2001, le petit village sénégalais qui compte une dizaine de cases avait douze enfants scolarisés.
« Aujourd'hui, ils sont une trentaine à aller à l'école de Gandigal située à cinq kilomètres. », précise Claude. Depuis 2006, le club service féminin Soroptimist de Royan vient en aide financièrement au village sénégalais. « Ainsi, nous avons pu construire une case à palabres. » raconte, Mme Caroit.
Devenir l'instituteur du village
Parmi les autres actions menées, il y a eu l'achat de matériel scolaire (livres, cahiers, feutres, craies). L'école de la Clairière, à Royan, a donné un petit coup de pouce. « L'argent récolté cette année, a permis d'installer une pompe manuelle pour le puits, d'électrifier deux habitations de plus. », détaille cette ancienne enseignante.
Dix ans après, Claude est touchée par le parcours de Sangué Dieng, « Je l'ai connu, il avait six ans. Aujourd'hui, il vient d'entrer en seconde au lycée de Saly et souhaite devenir l'instituteur de Keur Youngar. »