Il est avéré que la malnutrition est une des premières causes de dégradation physique et d’exclusion professionnelle. Et ayant vécu cette situation, la chanteuse a cru bon d’aider les personnes qui vivent cette situation. Adjiouza envisage ainsi d’apporter une aide surtout alimentaire à des personnes en difficulté économique, fragilisées par une société de plus en plus individualiste, ainsi qu’à des personnes totalement exclues.
la secrétaire générale d’Adjiouza-prod a souligné qu’il y a un espace aménagé pour offrir aux déshérités, des produits divers, en quantité et en qualité, moyennant une faible participation financière évaluée à 20% du prix usuel. Et d’ajouter : «le projet permettra la promotion de la dignité humaine, le développement d’un des aspects des plus sensibles de la politique de lutte contre la pauvreté à savoir «manger à sa faim».
Le comité cible les chefs de famille femme car les femmes constituent la frange qui souffrent plus de ce déséquilibre. Le but est d’essayer de prendre en charge le maximum d’indigents. Dans le lot il y a les travailleurs à moyen réduit, les sans abri, les handicapés, les femmes seules avec des enfants mais aussi des jeunes qui se retrouvent dans le lot des marginalisés.
Le projet vise pour sa phase de démarrage 100 familles et la boutique pilote sera mis en place à Guédiawaye. Le président de l’association des consommateurs du Sénégal (ASCOSEN) Momar Ndao d’assurer que toutes les dispositions sont prises afin que seul les ayants droit bénéficient du projet.
Marième FAYE pressafrik.com
la secrétaire générale d’Adjiouza-prod a souligné qu’il y a un espace aménagé pour offrir aux déshérités, des produits divers, en quantité et en qualité, moyennant une faible participation financière évaluée à 20% du prix usuel. Et d’ajouter : «le projet permettra la promotion de la dignité humaine, le développement d’un des aspects des plus sensibles de la politique de lutte contre la pauvreté à savoir «manger à sa faim».
Le comité cible les chefs de famille femme car les femmes constituent la frange qui souffrent plus de ce déséquilibre. Le but est d’essayer de prendre en charge le maximum d’indigents. Dans le lot il y a les travailleurs à moyen réduit, les sans abri, les handicapés, les femmes seules avec des enfants mais aussi des jeunes qui se retrouvent dans le lot des marginalisés.
Le projet vise pour sa phase de démarrage 100 familles et la boutique pilote sera mis en place à Guédiawaye. Le président de l’association des consommateurs du Sénégal (ASCOSEN) Momar Ndao d’assurer que toutes les dispositions sont prises afin que seul les ayants droit bénéficient du projet.
Marième FAYE pressafrik.com