‘’Nous le savions souffrant depuis quelque temps, mais qui aurait pu penser qu’il allait partir comme ça, presque sur la pointe des pieds, comme s’il ne voulait pas importuner ses nombreux amis !’’, écrit le journaliste Modou Mamoune Faye dans un article.
Au journal Le Soleil, Abdallah Faye ‘’a occupé les postes les plus prestigieux au niveau de la rédaction’’, souligne l’auteur de l’article, rappelant qu’il ‘’fut un directeur des rédactions qui a permis au quotidien de briller de mille feux’’ au tout début des années 2000.
‘’Avec sa disparition, la presse sénégalaise, africaine en général, a perdu une plume illustre. Une plume qui savait si bien retenir l’attention des lecteurs à travers de belles formules dont lui seul avait le secret’’, écrit Modou Mamoune Faye.
Il rappelle que le journalisme d’Abdallah Faye, c’était ‘’la rigueur dans le traitement de l’information, la vérification des faits quelle que soit l’urgence ou l’heure de bouclage, la recherche d’un style et le respect strict de la déontologie’’.
Selon lui, ‘’en plus de 30 ans de carrière, il n’a jamais publié (à notre connaissance) une information qui s’est révélée fausse ou qui lui a valu d’être traîné devant les tribunaux (…)’’.
Pour Modou Mamoune Faye, ‘’le journalisme de Abdallah Faye, c’était aussi une certaine joie de vivre qu’il savait communiquer à ses confrères et à tous ceux qui l’entouraient’’. L’homme qui était d’un ‘’optimisme presque naturel, (avait) un style alerte, enjoué, parfois provocateur, quelque peu désinvolte, mais jamais vulgaire ou gratuitement (….)’’.
Le défunt partageait aussi ‘’cet amour pour l’information culturelle, pour la Culture en général. Non pas cette +sous-culture+ (excusez du terme) qui a envahi les écrans de nos télévisions, les ondes de nos radios, les pages de nos journaux et que l’on veut faire passer comme une information +qui vend+’’.
Abdallah Faye ‘’était aussi un homme bien, quelqu’un qu’on voyait rarement élever la voix, entrer dans une colère noire ou dire du mal des autres’’, écrit son confrère ajoutant qu’il ‘’savait partager et était connu pour sa générosité, son humilité et son sens très élevé des relations humaines’’.
Au journal Le Soleil, Abdallah Faye ‘’a occupé les postes les plus prestigieux au niveau de la rédaction’’, souligne l’auteur de l’article, rappelant qu’il ‘’fut un directeur des rédactions qui a permis au quotidien de briller de mille feux’’ au tout début des années 2000.
‘’Avec sa disparition, la presse sénégalaise, africaine en général, a perdu une plume illustre. Une plume qui savait si bien retenir l’attention des lecteurs à travers de belles formules dont lui seul avait le secret’’, écrit Modou Mamoune Faye.
Il rappelle que le journalisme d’Abdallah Faye, c’était ‘’la rigueur dans le traitement de l’information, la vérification des faits quelle que soit l’urgence ou l’heure de bouclage, la recherche d’un style et le respect strict de la déontologie’’.
Selon lui, ‘’en plus de 30 ans de carrière, il n’a jamais publié (à notre connaissance) une information qui s’est révélée fausse ou qui lui a valu d’être traîné devant les tribunaux (…)’’.
Pour Modou Mamoune Faye, ‘’le journalisme de Abdallah Faye, c’était aussi une certaine joie de vivre qu’il savait communiquer à ses confrères et à tous ceux qui l’entouraient’’. L’homme qui était d’un ‘’optimisme presque naturel, (avait) un style alerte, enjoué, parfois provocateur, quelque peu désinvolte, mais jamais vulgaire ou gratuitement (….)’’.
Le défunt partageait aussi ‘’cet amour pour l’information culturelle, pour la Culture en général. Non pas cette +sous-culture+ (excusez du terme) qui a envahi les écrans de nos télévisions, les ondes de nos radios, les pages de nos journaux et que l’on veut faire passer comme une information +qui vend+’’.
Abdallah Faye ‘’était aussi un homme bien, quelqu’un qu’on voyait rarement élever la voix, entrer dans une colère noire ou dire du mal des autres’’, écrit son confrère ajoutant qu’il ‘’savait partager et était connu pour sa générosité, son humilité et son sens très élevé des relations humaines’’.