Fatoumata Niang Bâ, présidente du parti Union pour le développement du Sénégal/Renouveau, abordant la crise scolaire, a estimé que la jeunesse sénégalaise ne mérite pas cette situation. Elle a salué la grandeur du président de la République, pour avoir eu cet esprit de dépassement en acceptant toutes les propositions du mouvement des syndicats. La responsable politique de Grand-Yoff a exprimé toute sa gratitude au président de la République, pour les efforts consentis en faveur des enseignants, avec l’augmentation sur leur traitement salarial, pour maintenir la stabilité dans le secteur de l’éducation.
Ainsi, revenant sur le poste du futur Premier ministre, elle exhorte les Sénégalais à prendre leur mal en patience et à faire confiance au président de la République. Puisque, estime-t-elle, c’est lui-même qui leur avait promis la réhabilitation de ce poste de Premier ministre. « Quant au profil technocrate ou politique, cela est du ressort exclusif du président de la République », précise-t-elle. Et sur les retrouvailles entre Macky Sall et Abdoulaye Wade, elle évoque la vitalité de la démocratie pour mieux aider à comprendre la démarche du Président Salln qui ne travaille que pour un seul but, « un Sénégal pour tous ».
« Le bilan est globalement positif sur toute l’étendue du territoire national. S’il s’agissait des élections présidentielles, nous serions sortis vainqueurs dès le premier tour. Maintenant, si nous devons évaluer d’une manière intrinsèque ces résultats, vous devez savoir une chose : l’effritement de nos voix à travers les multitudes de listes parallèles, a favorisé dans certaines localités, l’opposition au détriment de la grande majorité présidentielle, qui reste et demeure majoritaire dans ce pays.
Concernant ma commune initiale Grand-Yoff, un seul sentiment m’habite, un sentiment de regret. De regret pourquoi ? Pour la seule et simple raison que ce fut vraiment du gâchis, un regret vraiment lamentable, dû à ce manque de sincérité, d’unité, de générosité et de solidarité dans nos rangs », regrette-t-elle.
Fatoumata Bâ Niang a expliqué l’impossibilité de gagner Grand-Yoff en étant toujours dans les calculs politiques et sans aucune cohésion de groupe, c’est-à-dire un manque d’esprit de camaraderie. « C’est le moment de le dire, si cela ne dépendait que de moi, j’allais démissionner depuis longtemps. Mais par respect vis-à-vis de mon engagement envers le Président Macky Sall, je suis restée dans Benno, avec une farouche détermination à œuvrer pour le collectif au bénéfice d’une victoire. La réalité de l’activité politique, c’est la proximité avec la population au quotidien, l’humilité. Malheureusement, c’est ce qui manque dans notre commune. On ne peut pas se lever à 3 mois des élections et penser qu’on peut venir pour gagner les élections aussi facilement », dénonce-t-elle.
La responsable politique de Grand-Yoff revient sur les échéances futures, en exhortant à aller à la conquête des jeunes et des femmes pour bien conserver les acquis. « Les résultats de ces élections ne laissent pas de place au doute. Nous sommes majoritaires dans ce pays à moins que vous parliez d’un autre Sénégal. J’ai appris à être patiente dans ma vie, si c’est pour figurer sur une liste, laissez-moi vous dire que cela ne dépend pas de moi. C’est du ressort exclusif de mon parti politique », assure-t-elle.
Ainsi, revenant sur le poste du futur Premier ministre, elle exhorte les Sénégalais à prendre leur mal en patience et à faire confiance au président de la République. Puisque, estime-t-elle, c’est lui-même qui leur avait promis la réhabilitation de ce poste de Premier ministre. « Quant au profil technocrate ou politique, cela est du ressort exclusif du président de la République », précise-t-elle. Et sur les retrouvailles entre Macky Sall et Abdoulaye Wade, elle évoque la vitalité de la démocratie pour mieux aider à comprendre la démarche du Président Salln qui ne travaille que pour un seul but, « un Sénégal pour tous ».
« Le bilan est globalement positif sur toute l’étendue du territoire national. S’il s’agissait des élections présidentielles, nous serions sortis vainqueurs dès le premier tour. Maintenant, si nous devons évaluer d’une manière intrinsèque ces résultats, vous devez savoir une chose : l’effritement de nos voix à travers les multitudes de listes parallèles, a favorisé dans certaines localités, l’opposition au détriment de la grande majorité présidentielle, qui reste et demeure majoritaire dans ce pays.
Concernant ma commune initiale Grand-Yoff, un seul sentiment m’habite, un sentiment de regret. De regret pourquoi ? Pour la seule et simple raison que ce fut vraiment du gâchis, un regret vraiment lamentable, dû à ce manque de sincérité, d’unité, de générosité et de solidarité dans nos rangs », regrette-t-elle.
Fatoumata Bâ Niang a expliqué l’impossibilité de gagner Grand-Yoff en étant toujours dans les calculs politiques et sans aucune cohésion de groupe, c’est-à-dire un manque d’esprit de camaraderie. « C’est le moment de le dire, si cela ne dépendait que de moi, j’allais démissionner depuis longtemps. Mais par respect vis-à-vis de mon engagement envers le Président Macky Sall, je suis restée dans Benno, avec une farouche détermination à œuvrer pour le collectif au bénéfice d’une victoire. La réalité de l’activité politique, c’est la proximité avec la population au quotidien, l’humilité. Malheureusement, c’est ce qui manque dans notre commune. On ne peut pas se lever à 3 mois des élections et penser qu’on peut venir pour gagner les élections aussi facilement », dénonce-t-elle.
La responsable politique de Grand-Yoff revient sur les échéances futures, en exhortant à aller à la conquête des jeunes et des femmes pour bien conserver les acquis. « Les résultats de ces élections ne laissent pas de place au doute. Nous sommes majoritaires dans ce pays à moins que vous parliez d’un autre Sénégal. J’ai appris à être patiente dans ma vie, si c’est pour figurer sur une liste, laissez-moi vous dire que cela ne dépend pas de moi. C’est du ressort exclusif de mon parti politique », assure-t-elle.