Pour trouver du poisson, les pêcheurs Sénégalais sont obligés d’aller plus loin, y passent plus de temps, dans des conditions très difficiles. Si des lois qui protègent nos ressources halieutiques existent, elles ne règlent pas les problèmes du secteur de la pèche. Les petits pélagiques comme la sardinelle sont en voie de disparition, à cause d’une surexploitation.
Au Sénégal, on ne sait pas le nombre de navires étrangers qui pêchent dans nos eaux. Le pillage des ressources halieutiques, en sus d’affecter la consommation de poisson dans les ménages, pousse les jeunes à emprunter des pirogues de fortune, pour rallier l’Europe.
Si les problèmes du secteur de la pêche ne sont pas réglés, la migration clandestine va continuer de plus belle. Preuve que la politique du Sénégal en matière de pêche est paradoxale, au moment où le pays limite la liste des pirogues de pêche artisanale, il accorde des licences à de véritables usines flottantes, qui pillent nos ressources halieutiques.
Au Sénégal, on ne sait pas le nombre de navires étrangers qui pêchent dans nos eaux. Le pillage des ressources halieutiques, en sus d’affecter la consommation de poisson dans les ménages, pousse les jeunes à emprunter des pirogues de fortune, pour rallier l’Europe.
Si les problèmes du secteur de la pêche ne sont pas réglés, la migration clandestine va continuer de plus belle. Preuve que la politique du Sénégal en matière de pêche est paradoxale, au moment où le pays limite la liste des pirogues de pêche artisanale, il accorde des licences à de véritables usines flottantes, qui pillent nos ressources halieutiques.