Le sacre de TFM comme la télévision la plus regardée avec un taux dépassant les 80% met en exergue une femme. Cette dernière présente une émission qui passe sur cette télévision et serait selon le sondage effectué par le bureau d’Etude Bda le programme le plus regardé par les sénégalais. Un plébiscite pour Déguène Chimère Diallo Babou qui depuis le démarrage des programmes de la Tfm en octobre 2010 étale une grande classe lors de ses apparitions sur la petite lucarne. Son émission Wareef, une émission sociétale qui traite des sujets qui intéressent la majorité des sénégalais, vient de la mettre au-devant de la scène plus qu’elle ne l’était.
Ses tenues jugées extravagantes par une partie de l’audimat la particularisent. Elle aime être sur son trente et un. Quoi de plus normal si l’on sait ses origines nordiques. Elle est de « Ndar ». Saint-Louis du Sénégal où la noblesse est l’affaire de tous. La classe, une graine enfouie dès le bas âge. « Elle en fait trop quand même », est le reproche qui lui est fait souvent. Mais, elle reste la même. Toujours pimpante. Se retapant une belle jeunesse.
Même à la radio, là où la voix prend le dessus sur le facies, la douce de Me Babou aiguise…des jalousies. De Dunyaa Fm à Océan Fm en passant par Manoré Fm, Déguène Chimère s’est toujours invitée dans les chaumières du Sénégal de la détresse. Du désespoir. Avec une voix qui bercerait le plus belliqueux des hommes.
Ses tenues jugées extravagantes par une partie de l’audimat la particularisent. Elle aime être sur son trente et un. Quoi de plus normal si l’on sait ses origines nordiques. Elle est de « Ndar ». Saint-Louis du Sénégal où la noblesse est l’affaire de tous. La classe, une graine enfouie dès le bas âge. « Elle en fait trop quand même », est le reproche qui lui est fait souvent. Mais, elle reste la même. Toujours pimpante. Se retapant une belle jeunesse.
Même à la radio, là où la voix prend le dessus sur le facies, la douce de Me Babou aiguise…des jalousies. De Dunyaa Fm à Océan Fm en passant par Manoré Fm, Déguène Chimère s’est toujours invitée dans les chaumières du Sénégal de la détresse. Du désespoir. Avec une voix qui bercerait le plus belliqueux des hommes.