C’est vrai que le départ de Becaye Diop est une exigence administrative, sociale et éthique. Mais Fabouly Gaye, Ndiogou Deme, et leur entourage ne constituent aucunement une alternative. Le départ de Becaye répond à un besoin de rendre aux populations koldoises leur dignité. En effet, depuis l’’accesssion du PDS au pouvoir en 2000, le monsieur se comporte comme le «dieu tout puissant » de la cité, un intouchable... A chaque fois qu’une menace de contestation pesait sur sa tête, il menaçait les Koldois en ces termes : « J’ai des chiens qui, dès que je les secoue, n’hésitent pas à mordre à mort ». Par chiens, il comprenait les éléments du GMI et les militaires à sa disposition quand il était respectivement ministre de l’Intérieur et ministre des Forces Armées. Pure expression de mépris et sous estime à l’egard d’une population à qui il doit jusqu’à la plus banale de sa chaussure. L’arrogance de Becaye Diop avait atteint un paroxysme au point que le monsieur se confondait à un berger qui avait pour troupeau les pauvres Koldois. Les rares moments où il se rendait à Kolda, il traitait les bénéficiaires de ses largesses de «coqs». « Vous êtes des coqs, je vous lance des graines et vous becquetez. Vous n’avez donc pas le droit d’’appreciation sur ce que je fais », leur lançait-il.
Le pire sous le magistère de Becaye est qu’il n’a fait bouger d’un iota la situation de la ville. Il se félicite souvent d’avoir construit les quelques routes bitumées de Kolda. Il oublie que le plus ignorant des Sénégalais est conscient que cette tâche ne relève pas de sa compétence, et qu’il n’en a même pas les compétences. Cet acquis n’est dû qu’à l’accueil avec brassards rouges et cercueil fait à Abdoulaye Wade lors de sa dernière visite à Kolda.
Donc le départ de Becaye réclamé par les jeunes de Kolda de tout bord reste un des actes les plus louables dans les combats politiques de la jeunesse koldoise. Cependant ses frères libéraux ne devraient pas danser avant la musique. Car, ils ne constituent nullement une alternative ou palliatif pour faire sortir Kolda de l’ornière. Ni leur profil, ni leur comportement éthique, leurs capacités non plus ne prédisent un salut.
Je reviendrai dans un article complet sur le profil de tous ces soit disant leaders libéraux, de Becaye à Fabouly, en passant par leurs collaborateurs, car il est du droit des administrés de connaitre en détail le parcours de leurs administrateurs. Ce sera un exercice intéressant, un chef d’œuvre auquel j’ai hâte de m’’adonner pour exhiber ces CV « très riches ».
Leur attitude est plus une bataille interne, propre aux frères libéraux du sommet à la base, qui se mangent comme des poissons en mer ; un véritable «homo homini lupus » qu’un souci de délivrer les populations koldoises de ce que Hillary Clinton appelait MORE FAILURE LEADERSHIP. Ils s’empressent de changer de position pour ne pas rendre compte au peuple, alors qu’ils sont tous comptables des égarements de Becaye.
Le pire sous le magistère de Becaye est qu’il n’a fait bouger d’un iota la situation de la ville. Il se félicite souvent d’avoir construit les quelques routes bitumées de Kolda. Il oublie que le plus ignorant des Sénégalais est conscient que cette tâche ne relève pas de sa compétence, et qu’il n’en a même pas les compétences. Cet acquis n’est dû qu’à l’accueil avec brassards rouges et cercueil fait à Abdoulaye Wade lors de sa dernière visite à Kolda.
Donc le départ de Becaye réclamé par les jeunes de Kolda de tout bord reste un des actes les plus louables dans les combats politiques de la jeunesse koldoise. Cependant ses frères libéraux ne devraient pas danser avant la musique. Car, ils ne constituent nullement une alternative ou palliatif pour faire sortir Kolda de l’ornière. Ni leur profil, ni leur comportement éthique, leurs capacités non plus ne prédisent un salut.
Je reviendrai dans un article complet sur le profil de tous ces soit disant leaders libéraux, de Becaye à Fabouly, en passant par leurs collaborateurs, car il est du droit des administrés de connaitre en détail le parcours de leurs administrateurs. Ce sera un exercice intéressant, un chef d’œuvre auquel j’ai hâte de m’’adonner pour exhiber ces CV « très riches ».
Leur attitude est plus une bataille interne, propre aux frères libéraux du sommet à la base, qui se mangent comme des poissons en mer ; un véritable «homo homini lupus » qu’un souci de délivrer les populations koldoises de ce que Hillary Clinton appelait MORE FAILURE LEADERSHIP. Ils s’empressent de changer de position pour ne pas rendre compte au peuple, alors qu’ils sont tous comptables des égarements de Becaye.