Ce n’est pas par manque d’esprit de groupe que Pape Ndiaye, plus connu sous le sobriquet de Yékini Junior, du sobriquet de son idole, a quitté l’Ecole de lutte (ou écurie) Ndakarou. On comprend aisément qu’on l’y a plutôt contraint, à la lecture de l’entretien accordé au quotidien «l’Observateur» dans son édition du mardi 3 juillet 2012. Interrogé sur les raisons qui ont présidé à la rupture entre ce membre fondateur et l’écurie qui l’a révélé au grand jour, Amadou Katy Diop, directeur technique de ladite structure n’a pas tourné autour du pot. «Tout est parti d’une petite histoire. C’est mon frère, membre de l’écurie, qui est parti lui dire de se méfier de Malick Niang. C’est ainsi que Yékini est allé s’en ouvrir à Malick Niang. Cela s’est passé avant le combat de ce dernier contre Khadim Ndiaye 2».
En initiant une telle démarche, le frère du coach de Ndakarou était-il bien intentionné ? Apparemment pas. Fort heureusement, Yékini Junior s’est comportant en responsable en allant parler à son camarade d’écurie et non moins ami. Ce qui explique, peut-être, les pleurs de Malick Niang après a victoire, avant de déclarer : «Cette victoire, le ne le dédie ni à mon père, ni à ma mère, mais bien à Yékini Junior, sans qui ne j’aurais pas disputé ce combat, car j’avais une blessure. Mais il m’a forcé à m’entraîner et à combattre. Je lui dois tout». Pour prouver qu’il n’y a aucune rivalité entre ces deux poulains de Yékini qui, au moment des faits et même du combat, se trouvait à Joal.
Yékini Junior, qui n’a pas voulu se prononcer à l’interpellation du reporter du senegalais.net, promet toutefois de tenir une conférence de presse, dans les prochains jours. Une évidence cependant, il n’ira pas grossir les rangs d’une autre écurie. "Junior", comme l’appellent affectueusement ses ex-camarades d’écurie, tous abattus par cette séparation, va fonder sa propre structure, peut-être à Grand-Médine, son fief. On serrure d’ailleurs qu’il pourrait emmener avec lui les meilleurs espoirs de Ndakarou, notamment Malick Niang, justement, et "Brise de Mer", qui habite le même quartier que lui.
lesenegalais
En initiant une telle démarche, le frère du coach de Ndakarou était-il bien intentionné ? Apparemment pas. Fort heureusement, Yékini Junior s’est comportant en responsable en allant parler à son camarade d’écurie et non moins ami. Ce qui explique, peut-être, les pleurs de Malick Niang après a victoire, avant de déclarer : «Cette victoire, le ne le dédie ni à mon père, ni à ma mère, mais bien à Yékini Junior, sans qui ne j’aurais pas disputé ce combat, car j’avais une blessure. Mais il m’a forcé à m’entraîner et à combattre. Je lui dois tout». Pour prouver qu’il n’y a aucune rivalité entre ces deux poulains de Yékini qui, au moment des faits et même du combat, se trouvait à Joal.
Yékini Junior, qui n’a pas voulu se prononcer à l’interpellation du reporter du senegalais.net, promet toutefois de tenir une conférence de presse, dans les prochains jours. Une évidence cependant, il n’ira pas grossir les rangs d’une autre écurie. "Junior", comme l’appellent affectueusement ses ex-camarades d’écurie, tous abattus par cette séparation, va fonder sa propre structure, peut-être à Grand-Médine, son fief. On serrure d’ailleurs qu’il pourrait emmener avec lui les meilleurs espoirs de Ndakarou, notamment Malick Niang, justement, et "Brise de Mer", qui habite le même quartier que lui.
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