Le groupe parlementaire de la majorité Benno Bokk Yakaar a-t-il opté pour un bras de fer jusqu’au bout avec l’actuel Premier ministre, Ousmane Sonko ?
Cette question mérite bien d’être posée au regard du statu quo qui règne actuellement au niveau de l’Assemblée nationale. En effet, à une semaine de la fin de cet ultimatum, rien ne bouge du côté de la Place Soweto. Et pourtant, les deux propositions de loi déposées par des députés membres du groupe parlementaire Liberté, Démocratie et Changement de la coalition Wallu du Parti démocratique sénégalais (Pds) depuis la semaine dernière, pour trouver une solution institutionnelle qui pourrait décanter de ce bras de fer, dorment dans les tiroirs du président de l’Assemblée nationale.
Il s’agit de la proposition de loi modifiant la loi organique n°2002-20 du 15 mai 2002 portant Règlement intérieur de l’Assemblée nationale déposée le lundi 1er juillet dernier par Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly, vice-président du groupe parlementaire Liberté, Démocratie et Changement de la coalition Wallu du Pds.
Mais également de la proposition de loi visant à réactualiser le Règlement intérieur de l’Assemblée nationale déposée le mardi 2 juillet dernier par Nafissatou Diallo et ses collègues du groupe parlementaire Liberté, Démocratie et Changement, Ibrahima Diop et Serigne Abo Mbacké Thiam, pour permettre au Premier ministre Ousmane Sonko, de faire sa Déclaration politique générale (Dpg).
En effet, interpelée hier, lundi 8 juillet, sur leur proposition, l’honorable député Nafy Diallo dit n’avoir jusqu’ici aucun retour.
« On a déposé régulièrement notre proposition de Loi au niveau du bureau courrier de l’Assemblée nationale mardi dernier. On laisse le processus se faire. Mais pour ce qui est de la suite qui a été donnée à cette proposition, je n’ai absolument aucune information, puisque je ne suis pas membre du bureau de l’Assemblée nationale. Et s’il y avait quelque chose, vous (journalistes) auriez été informés, je suppose », a renseigné la secrétaire nationale à la communication du Pds.
Interpelé également sur cette question, son collègue de groupe parlementaire Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly, renseignant que les responsables des trois groupes parlementaires que compte cette quatorzième législature, se sont déjà réunis et ont donné leur accord pour la mise à jour du règlement intérieur et a pointé du doigt ses camarades de la majorité parlementaire.
Soulignant que l’Assemblée nationale avait clôturé sa session unique ordinaire au moment où il déposait sa proposition de loi, le lundi 1er juillet dernier, le vice-président du groupe parlementaire Liberté, Démocratie et Changement affirme que c’est aux députés de la majorité parlementaire que revient la charge, dans le contexte actuel de vacances du parlement, de convoquer une session extraordinaire.
« A la suite de la clôture de notre session ordinaire unique le 29 juin dernier, les députés sont en vacances jusqu’à l’ouverture de la prochaine session ordinaire unique au mois d’octobre. Cependant, la loi prévoit des sessions extraordinaires qui sont convoquées soit, sur décision du bureau de l’Assemblée nationale, sur demande écrite de la moitié des députés au président de l’Assemblée nationale ou sur décision du président de la République », a-t-il expliqué.
Avant d’ajouter dans la foulée : « Au regard des dispositions de loi, il n’y a que nos collègues de la majorité Benno Bokk Yakaar qui contrôlent également le bureau de l’Assemblée nationale, qui peuvent décider. Si les choses traînent, c’est à leur niveau».
Cette question mérite bien d’être posée au regard du statu quo qui règne actuellement au niveau de l’Assemblée nationale. En effet, à une semaine de la fin de cet ultimatum, rien ne bouge du côté de la Place Soweto. Et pourtant, les deux propositions de loi déposées par des députés membres du groupe parlementaire Liberté, Démocratie et Changement de la coalition Wallu du Parti démocratique sénégalais (Pds) depuis la semaine dernière, pour trouver une solution institutionnelle qui pourrait décanter de ce bras de fer, dorment dans les tiroirs du président de l’Assemblée nationale.
Il s’agit de la proposition de loi modifiant la loi organique n°2002-20 du 15 mai 2002 portant Règlement intérieur de l’Assemblée nationale déposée le lundi 1er juillet dernier par Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly, vice-président du groupe parlementaire Liberté, Démocratie et Changement de la coalition Wallu du Pds.
Mais également de la proposition de loi visant à réactualiser le Règlement intérieur de l’Assemblée nationale déposée le mardi 2 juillet dernier par Nafissatou Diallo et ses collègues du groupe parlementaire Liberté, Démocratie et Changement, Ibrahima Diop et Serigne Abo Mbacké Thiam, pour permettre au Premier ministre Ousmane Sonko, de faire sa Déclaration politique générale (Dpg).
En effet, interpelée hier, lundi 8 juillet, sur leur proposition, l’honorable député Nafy Diallo dit n’avoir jusqu’ici aucun retour.
« On a déposé régulièrement notre proposition de Loi au niveau du bureau courrier de l’Assemblée nationale mardi dernier. On laisse le processus se faire. Mais pour ce qui est de la suite qui a été donnée à cette proposition, je n’ai absolument aucune information, puisque je ne suis pas membre du bureau de l’Assemblée nationale. Et s’il y avait quelque chose, vous (journalistes) auriez été informés, je suppose », a renseigné la secrétaire nationale à la communication du Pds.
Interpelé également sur cette question, son collègue de groupe parlementaire Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly, renseignant que les responsables des trois groupes parlementaires que compte cette quatorzième législature, se sont déjà réunis et ont donné leur accord pour la mise à jour du règlement intérieur et a pointé du doigt ses camarades de la majorité parlementaire.
Soulignant que l’Assemblée nationale avait clôturé sa session unique ordinaire au moment où il déposait sa proposition de loi, le lundi 1er juillet dernier, le vice-président du groupe parlementaire Liberté, Démocratie et Changement affirme que c’est aux députés de la majorité parlementaire que revient la charge, dans le contexte actuel de vacances du parlement, de convoquer une session extraordinaire.
« A la suite de la clôture de notre session ordinaire unique le 29 juin dernier, les députés sont en vacances jusqu’à l’ouverture de la prochaine session ordinaire unique au mois d’octobre. Cependant, la loi prévoit des sessions extraordinaires qui sont convoquées soit, sur décision du bureau de l’Assemblée nationale, sur demande écrite de la moitié des députés au président de l’Assemblée nationale ou sur décision du président de la République », a-t-il expliqué.
Avant d’ajouter dans la foulée : « Au regard des dispositions de loi, il n’y a que nos collègues de la majorité Benno Bokk Yakaar qui contrôlent également le bureau de l’Assemblée nationale, qui peuvent décider. Si les choses traînent, c’est à leur niveau».