Les manifestants ont aussi scandé des slogans appelant à empêcher Ould Cheikh Abdallahi de rentrer dans la capitale.
Il se trouve depuis sa libération dans son village natal de Lemden, 250 kilomètres au sud de Nouakchott.
Des rumeurs font état de l’arrivée prochaine de l’ex président à Nouakchott pour prendre part aux activités politiques de son parti.
Ils ont également demandé que la fondation KB, du nom l’ex première dame Khatou Mint El Boukhari, soit dépossédée des « biens publics qu’elle a pillés ».
Une autre manifestation hostile au retour de Ould Cheikh Abdallahi à Nouakchott avait eu lieu la veille devant son domicile avant d’être dispersée par les forces de l’ordre qui ont interpellé plusieurs participants.
Dans le même temps, le Front national de défense de la démocratie (FNDD) qui s’oppose au putsch du 6 août, accusait les services de renseignements du régime militaire en place de piloter ces manifestations.
Dans un communiqué parvenu à APA à Nouakchott, le FNDD a mis en garde contre la « gravité des actes et paroles incitant à la violence » et a rendu le pouvoir en place responsable de la sécurité du « Président de la République ».
Il se trouve depuis sa libération dans son village natal de Lemden, 250 kilomètres au sud de Nouakchott.
Des rumeurs font état de l’arrivée prochaine de l’ex président à Nouakchott pour prendre part aux activités politiques de son parti.
Ils ont également demandé que la fondation KB, du nom l’ex première dame Khatou Mint El Boukhari, soit dépossédée des « biens publics qu’elle a pillés ».
Une autre manifestation hostile au retour de Ould Cheikh Abdallahi à Nouakchott avait eu lieu la veille devant son domicile avant d’être dispersée par les forces de l’ordre qui ont interpellé plusieurs participants.
Dans le même temps, le Front national de défense de la démocratie (FNDD) qui s’oppose au putsch du 6 août, accusait les services de renseignements du régime militaire en place de piloter ces manifestations.
Dans un communiqué parvenu à APA à Nouakchott, le FNDD a mis en garde contre la « gravité des actes et paroles incitant à la violence » et a rendu le pouvoir en place responsable de la sécurité du « Président de la République ».