Le Comité Valmy dans une vérification de ces faits avancés par le journaliste d’investigations, révèle que la première anomalie notée réside dans le fait que cet avion ne figure plus dans le registre officiel de l’aviation civile française, pas même à la rubrique des immatriculations radiées. Le Comité Valmy poursuit : « Les recherches avec les immatriculations peintes sur les carlingues des appareils ne donnent aucun résultat. » Ce qui pousse ce comité qui lutte contre la corruption à s’interroger sur l’existence antérieure du nouvel avion présidentiel du Sénégal. « L’A319 immatriculé F-RBFA (nouveau matricule 6V-ANE) , appareil officiel de la Présidence française depuis 2002, aujourd’hui vendu à la Présidence du Sénégal, n’aurait-il donc jamais existé ? », se demandent-il.
La deuxième anomalie relevée par le Comité Valmy est le manque de transparence notée dans la transaction qui a permis à l’Elysée de céder au Sénégal cet appareil âgé de 9 ans. « S’il est très probable qu’un accord soit intervenu avec Karim Wade, fils du président sénégalais Abdoulaye Wade, rien n’a été rendu public sur une transaction qui a fait scandale au Sénégal et qui a été passée sous silence en France. Le prix final aurait été de 20,9 milliards de francs CFA, soit 32 millions d’euros. Rien ni personne pour s’assurer que ce prix soit la réelle valeur de l’appareil, un légèreté troublante de la part d’un pays qui ne serait capable que de mobiliser 350.000 euros pour venir en aide à la Tunisie récemment libérée», avance le Comité Valmy.
Selon toujours les vérification effectuées par le Comité Valmy, « le site airbusdeliveries.blogspot.com ajoute encore à la confusion en répertoriant l’avion vendu au Sénégal avec le numéro constructeur de l’un (cn1485 / F-RBFA) ayant pour immatriculation précédente le numéro de l’autre (cn1556 / F-RBFB) « avec des titres et le logo de queue, F-reg avant la livraison, (1485 F-URBSFA encore tout blanc) ex F-RBFB ».
La deuxième anomalie relevée par le Comité Valmy est le manque de transparence notée dans la transaction qui a permis à l’Elysée de céder au Sénégal cet appareil âgé de 9 ans. « S’il est très probable qu’un accord soit intervenu avec Karim Wade, fils du président sénégalais Abdoulaye Wade, rien n’a été rendu public sur une transaction qui a fait scandale au Sénégal et qui a été passée sous silence en France. Le prix final aurait été de 20,9 milliards de francs CFA, soit 32 millions d’euros. Rien ni personne pour s’assurer que ce prix soit la réelle valeur de l’appareil, un légèreté troublante de la part d’un pays qui ne serait capable que de mobiliser 350.000 euros pour venir en aide à la Tunisie récemment libérée», avance le Comité Valmy.
Selon toujours les vérification effectuées par le Comité Valmy, « le site airbusdeliveries.blogspot.com ajoute encore à la confusion en répertoriant l’avion vendu au Sénégal avec le numéro constructeur de l’un (cn1485 / F-RBFA) ayant pour immatriculation précédente le numéro de l’autre (cn1556 / F-RBFB) « avec des titres et le logo de queue, F-reg avant la livraison, (1485 F-URBSFA encore tout blanc) ex F-RBFB ».