Baye Zale Diallo s’est entretenu avec Weekend Magazine malgré les injonctions des enquêteurs de la Division des investigations criminelles(DIC). Le mari de la défunte qui célèbre à sa manière l’anniversaire de la mort de Fama Niane est convaincu que la police ne veut pas arrêter le présumé meurtrier de celle-ci.
Malgré ce mépris de la Police, Baye Zale semble déterminé à faire la lumière sur cette affaire révèle avoir eu un entretien téléphonique avec la prostituée qui avait été arrêtée au même titre que lui au lendemain de la mort de sa femme. Dans cet entretien téléphonique avec la prostituée, Baye Zale relate que cette dernière lui a fait savoir que la police s’est trompée sur son sort. « Tu n’as rien à voir avec le meurtre de ta femme », lui aurait dit la prostituée. Qui avoue être témoin de tout le processus qui a abouti au meurtre de Fama Niane.
Elle poursuit : « un jour, un homme, un politicien est venu à la baraque de Kandé (Aliou Kandé présumé meurtrier de Fama Niane) pour lui exposer un problème. L’homme a dit à Kandé qu’il convoitait un poste et qu’il voulait que Kandé l’aide mystiquement. Kandé lui a répondu qu’il pouvait résoudre son problème à la condition qu’il lui apporte le cœur et les seins d’une femme. Le politicien a dit qu’il était incapable de tuer un homme mais que si Kandé pouvait le faire à sa place, il lui en donnerait les moyens avant de lui remettre 6 millions FCfa. J’ai tout entendu puisque j’étais couchée dans la pièce. Quand le politicien est parti, Kandé m’a offert 400 000 F Cfa ». Toutefois, elle n'a pas voulu se prononcer davantage sur l'affaire pour des raisons de sécurité.
Mais ses confessions confortent Baye Zale Diallo dans ses convictions comme quoi la police sait les tenants et les aboutissants de ce meurtre sur commande mais veut noyer l’affaire. C’est pourquoi, le mari de Fama Niane ne leur a rien dit de ce que lui a raconté la prostituée. « Je ne leur ai rien dit parce que je n’ai pas confiance en eux », a-t-il dit dans les colonnes de Weekend Magazine.
Néanmoins, Baye Zale Diallo qui porte encore le deuil continue à croire que le présumé meurtrier de sa femme qui se serait refugié en Guinée Conakry -ce que la police n’est pas sans savoir - finira par être cueilli.
Malgré ce mépris de la Police, Baye Zale semble déterminé à faire la lumière sur cette affaire révèle avoir eu un entretien téléphonique avec la prostituée qui avait été arrêtée au même titre que lui au lendemain de la mort de sa femme. Dans cet entretien téléphonique avec la prostituée, Baye Zale relate que cette dernière lui a fait savoir que la police s’est trompée sur son sort. « Tu n’as rien à voir avec le meurtre de ta femme », lui aurait dit la prostituée. Qui avoue être témoin de tout le processus qui a abouti au meurtre de Fama Niane.
Elle poursuit : « un jour, un homme, un politicien est venu à la baraque de Kandé (Aliou Kandé présumé meurtrier de Fama Niane) pour lui exposer un problème. L’homme a dit à Kandé qu’il convoitait un poste et qu’il voulait que Kandé l’aide mystiquement. Kandé lui a répondu qu’il pouvait résoudre son problème à la condition qu’il lui apporte le cœur et les seins d’une femme. Le politicien a dit qu’il était incapable de tuer un homme mais que si Kandé pouvait le faire à sa place, il lui en donnerait les moyens avant de lui remettre 6 millions FCfa. J’ai tout entendu puisque j’étais couchée dans la pièce. Quand le politicien est parti, Kandé m’a offert 400 000 F Cfa ». Toutefois, elle n'a pas voulu se prononcer davantage sur l'affaire pour des raisons de sécurité.
Mais ses confessions confortent Baye Zale Diallo dans ses convictions comme quoi la police sait les tenants et les aboutissants de ce meurtre sur commande mais veut noyer l’affaire. C’est pourquoi, le mari de Fama Niane ne leur a rien dit de ce que lui a raconté la prostituée. « Je ne leur ai rien dit parce que je n’ai pas confiance en eux », a-t-il dit dans les colonnes de Weekend Magazine.
Néanmoins, Baye Zale Diallo qui porte encore le deuil continue à croire que le présumé meurtrier de sa femme qui se serait refugié en Guinée Conakry -ce que la police n’est pas sans savoir - finira par être cueilli.