Les cinq responsables de Pastef Tivaouane, interpellés par la police le 15 mars 2023 puis placés sous mandat de dépôt, dans le cadre d’une marche pacifique autorisée et encadrée, ont été finalement édifiés sur leur sort.
En rendant le verdict rendu hier, le Tribunal de Grande Instance de Thiès les a condamnés à 2 mois de prison ferme. Il s’agit de Bineta Sambou, professeur de français à Pambal, responsable départementale des femmes patriotes, Alioune Badara Mboup, coordonnateur communal et vice-coordonnateur départemental, Moustapha Lô chargé de la communication, Habib Sy Ndiaye, responsable des jeunes et Idrissa Diédhiou, responsable à Mboro, informe "L'As".
Pour rappel, le ministère public avait requis 2 ans avec sursis, là où la défense avait évidemment plaidé la relaxe. Ils avaient été interpellés à la veille des violentes manifestations du 16 mars et pourtant ce jour-là, ils ont battu le pavé dans les rues de Tivaouane à l’occasion d’une marche autorisée. Mais il leur est reproché d’avoir poursuivi la manifestation bien au-delà de l’heure indiqué dans l’autorisation, ce qui avait occasionné des heurts avec la police. Par ailleurs, cinq de leurs camarades ont recouvré la liberté. Il s’agit d’Abdou Aziz Sy, de Baba Ngalé Bâ, Pape Modou Khouma, Fadel Fall, Abdoulaye Bâ. Seul le dossier de Madiaw Diop a été envoyé en instruction.
En rendant le verdict rendu hier, le Tribunal de Grande Instance de Thiès les a condamnés à 2 mois de prison ferme. Il s’agit de Bineta Sambou, professeur de français à Pambal, responsable départementale des femmes patriotes, Alioune Badara Mboup, coordonnateur communal et vice-coordonnateur départemental, Moustapha Lô chargé de la communication, Habib Sy Ndiaye, responsable des jeunes et Idrissa Diédhiou, responsable à Mboro, informe "L'As".
Pour rappel, le ministère public avait requis 2 ans avec sursis, là où la défense avait évidemment plaidé la relaxe. Ils avaient été interpellés à la veille des violentes manifestations du 16 mars et pourtant ce jour-là, ils ont battu le pavé dans les rues de Tivaouane à l’occasion d’une marche autorisée. Mais il leur est reproché d’avoir poursuivi la manifestation bien au-delà de l’heure indiqué dans l’autorisation, ce qui avait occasionné des heurts avec la police. Par ailleurs, cinq de leurs camarades ont recouvré la liberté. Il s’agit d’Abdou Aziz Sy, de Baba Ngalé Bâ, Pape Modou Khouma, Fadel Fall, Abdoulaye Bâ. Seul le dossier de Madiaw Diop a été envoyé en instruction.