La Commission économique pour l’Afrique (Cea) et Google LLC (Google) ont signé un protocole d’accord visant à favoriser et à accélérer la transformation numérique en Afrique en marge de l’édition 2024 du Forum des entreprises africaines (Africa Business Forum), tenue le 19 février 2024 à Addis-Abeba en Éthiopie.
Source : https://www.lejecos.com/Developpement-du-numerique...
Dans le cadre de cet accord, un Google et la Cea s’efforceront d’entamer une collaboration dans trois domaines. Il s’agit d’abord, du développement des startups. En ce sens, Google s’efforcera de s’associer à la Cea pour atteindre son objectif de permettre à 1 million de startups de générer 100 milliards de dollars de revenus d’ici 2033.
« Nous nous concentrerons sur les startups technologiques qui répondent aux Objectifs de développement durable des Nations Unies en Afrique en leur fournissant un mentorat et un encadrement de centaines d’employés de Google », rapporte un communiqué de la Cea.
Ensuite, le partenariat concerne l’enseignement de l’informatique. A ce titre, il faut noter qu’à partir de 2024, la « Cea, Camden Trust et Google s’efforceront de perfectionner plus de 5 000 jeunes étudiants africains et 200 enseignants en informatique et en robotique afin de soutenir leur participation à la compétition mondiale, l’Olympiade de la robotique et accroître la représentation de l’Afrique ».
Les partenaires visent à opérer dans plus de 10 pays, dont le Sénégal, l’Éthiopie, la Guinée équatoriale, le Ghana, le Kenya, le Mozambique, le Nigéria, le Rwanda, la Tanzanie, l’Afrique du Sud, le Soudan du Sud, l’Ouganda et le Zimbabwe.
Enfin, il s’agira d’une collaboration en matière cybersécurité qui fera que la Cea et Google travailleront ensemble pour favoriser une culture résiliente en matière de sécurité numérique dans la région.
« Nous y parviendrons à travers des dialogues avec des fonctionnaires, des ateliers de formation et le partage des meilleures pratiques. En outre, le partenariat vise à mener des recherches collaboratives sur la cybersécurité et déterminer son lien avec la réalisation des Odd et de l’Agenda 2063 », confie le communiqué de la Cea.
« Ce partenariat a le potentiel de produire des résultats significatifs et décisifs pour relever les défis numériques et réduire la fracture numérique sur le continent africain », a fait remarquer M. Claver Gatete, secrétaire exécutif de la Cea.
L’Afrique, avec 63 % de sa population, privés d’accès à Internet, enregistre le taux de pénétration d’Internet le plus faible au monde.
Le vice-président des affaires gouvernementales et des politiques publiques de Google pour les marchés émergents déclare, pour sa part, qu’ « avec des technologies avancées comme l’Intelligence artificielle (Ia), la transformation la plus profonde est encore à venir ».
Pour Doron Avni, la collaboration sera essentielle si l’Afrique veut saisir cette opportunité et garantir que personne ne soit laissé pour compte.
Bassirou MBAYE
« Nous nous concentrerons sur les startups technologiques qui répondent aux Objectifs de développement durable des Nations Unies en Afrique en leur fournissant un mentorat et un encadrement de centaines d’employés de Google », rapporte un communiqué de la Cea.
Ensuite, le partenariat concerne l’enseignement de l’informatique. A ce titre, il faut noter qu’à partir de 2024, la « Cea, Camden Trust et Google s’efforceront de perfectionner plus de 5 000 jeunes étudiants africains et 200 enseignants en informatique et en robotique afin de soutenir leur participation à la compétition mondiale, l’Olympiade de la robotique et accroître la représentation de l’Afrique ».
Les partenaires visent à opérer dans plus de 10 pays, dont le Sénégal, l’Éthiopie, la Guinée équatoriale, le Ghana, le Kenya, le Mozambique, le Nigéria, le Rwanda, la Tanzanie, l’Afrique du Sud, le Soudan du Sud, l’Ouganda et le Zimbabwe.
Enfin, il s’agira d’une collaboration en matière cybersécurité qui fera que la Cea et Google travailleront ensemble pour favoriser une culture résiliente en matière de sécurité numérique dans la région.
« Nous y parviendrons à travers des dialogues avec des fonctionnaires, des ateliers de formation et le partage des meilleures pratiques. En outre, le partenariat vise à mener des recherches collaboratives sur la cybersécurité et déterminer son lien avec la réalisation des Odd et de l’Agenda 2063 », confie le communiqué de la Cea.
« Ce partenariat a le potentiel de produire des résultats significatifs et décisifs pour relever les défis numériques et réduire la fracture numérique sur le continent africain », a fait remarquer M. Claver Gatete, secrétaire exécutif de la Cea.
L’Afrique, avec 63 % de sa population, privés d’accès à Internet, enregistre le taux de pénétration d’Internet le plus faible au monde.
Le vice-président des affaires gouvernementales et des politiques publiques de Google pour les marchés émergents déclare, pour sa part, qu’ « avec des technologies avancées comme l’Intelligence artificielle (Ia), la transformation la plus profonde est encore à venir ».
Pour Doron Avni, la collaboration sera essentielle si l’Afrique veut saisir cette opportunité et garantir que personne ne soit laissé pour compte.
Bassirou MBAYE
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