Le secrétaire général de l’Union pour le renouveau démocratique (Urd) s’émeut des pertes en vies humaines et des nombreux blessés des violentes manifestations nées de l’arrestation de Ousmane Sonko, placé finalement sous contrôle judiciaire. «L’heure est au courage d’assumer la vérité comme nous y invitent avec insistance la mémoire des disparus, les carrières brisées de nos policiers et militaires dans l’exécution de leur fonction si noble de défense et de protection de notre sécurité», écrit Diégane Sène.
Ainsi, il souligne la responsabilité de chaque acteur de cette affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr qui a mis le pays à feu et à sang. Le 8 mars, cette libération du leader de Pastef a sans doute évité de basculer le Sénégal dans une spirale de violences et, peut-être, avec des conséquences plus graves. Mais cet allié du Président Macky Sall a une appréhension à ce sujet.
«Si la situation sociale peut amener le magistrat à s’écarter de la rigueur des textes, au nom de l’apaisement du climat politique, décision qui, hier, fut celle du Doyen des juges, il paraît clair qu’il n’est pas souhaitable qu’une telle conception de la justice prévale plus longtemps sur le droit qui est et demeure, au fond, notre premier et ultime recours», relève-t-il. Le leader des Rénovateurs s’étonne d’ailleurs que ce soient «les pourfendeurs de notre justice qui font du procédé un point focal de leurs revendications».
Sur le pillage des entreprises étrangères, M. Sène ne s’explique pas, par ailleurs, les attaques contre les «partenaires du Sénégal qui n’ont pas attendu les senteurs de l’or noir pour nous faire confiance et nous marquer leur amitié et contribuer à notre développement. Nous leur devons respect et protection». Il ajoute : «A leurs milliers d’employés, tous chargés de famille, aujourd’hui inquiets, désemparés à l’idée d’une fin de mois de mars blanche, c’est-à-dire sans salaire donc sans subsistance, nous devons marquer notre solidarité.»
Le successeur de feu Djibo Leyti Kâ estime également qu’aucun politicien «ne doit venir contester la qualité de victimes» de ces employeurs et leur «droit à une juste réparation de leurs préjudices».
Ainsi, il souligne la responsabilité de chaque acteur de cette affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr qui a mis le pays à feu et à sang. Le 8 mars, cette libération du leader de Pastef a sans doute évité de basculer le Sénégal dans une spirale de violences et, peut-être, avec des conséquences plus graves. Mais cet allié du Président Macky Sall a une appréhension à ce sujet.
«Si la situation sociale peut amener le magistrat à s’écarter de la rigueur des textes, au nom de l’apaisement du climat politique, décision qui, hier, fut celle du Doyen des juges, il paraît clair qu’il n’est pas souhaitable qu’une telle conception de la justice prévale plus longtemps sur le droit qui est et demeure, au fond, notre premier et ultime recours», relève-t-il. Le leader des Rénovateurs s’étonne d’ailleurs que ce soient «les pourfendeurs de notre justice qui font du procédé un point focal de leurs revendications».
Sur le pillage des entreprises étrangères, M. Sène ne s’explique pas, par ailleurs, les attaques contre les «partenaires du Sénégal qui n’ont pas attendu les senteurs de l’or noir pour nous faire confiance et nous marquer leur amitié et contribuer à notre développement. Nous leur devons respect et protection». Il ajoute : «A leurs milliers d’employés, tous chargés de famille, aujourd’hui inquiets, désemparés à l’idée d’une fin de mois de mars blanche, c’est-à-dire sans salaire donc sans subsistance, nous devons marquer notre solidarité.»
Le successeur de feu Djibo Leyti Kâ estime également qu’aucun politicien «ne doit venir contester la qualité de victimes» de ces employeurs et leur «droit à une juste réparation de leurs préjudices».