Ahmed Khalifa Niasse a passé de longues heures, hier, devant les enquêteurs de la Sûreté urbaine. Dans l’affaire l'opposant aux marabouts soninkés, le politicien a fait face aux limiers pour répondre à la plainte de ceux-ci. A en croire L’As, il a été cuisiné durant de longues heures à la suite d’un soit-transmis du procureur de la République. Mais, rien n’a filtré de cette audition.
Invité de l'émission "Le débat africain" d’Alain Foka sur RFI, le dimanche 3 juillet 2016, le marabout-politicien aurait affirmé qu'une mosquée, sise à Malick Sy, "à côté de la Cité Police", serait une "mosquée wahhabite ou salafiste qui prépare des actes terroristes".
"Nous avons porté plainte contre M. Niasse pour calomnie, diffamation, incitation à la haine et mise en danger de la vie d’autrui", avait déclaré le Pr Sakho, l'un des responsable de la mosquée, lors d'une conférence de presse à Dakar. La Sûreté urbaine, qui a hérité du dossier sur instruction du parquet a ouvert une enquête et auditionné, vendredi 29 août dernier, les plaignants en attendant le mis en cause, Ahmed Khalifa Niasse.
Invité de l'émission "Le débat africain" d’Alain Foka sur RFI, le dimanche 3 juillet 2016, le marabout-politicien aurait affirmé qu'une mosquée, sise à Malick Sy, "à côté de la Cité Police", serait une "mosquée wahhabite ou salafiste qui prépare des actes terroristes".
"Nous avons porté plainte contre M. Niasse pour calomnie, diffamation, incitation à la haine et mise en danger de la vie d’autrui", avait déclaré le Pr Sakho, l'un des responsable de la mosquée, lors d'une conférence de presse à Dakar. La Sûreté urbaine, qui a hérité du dossier sur instruction du parquet a ouvert une enquête et auditionné, vendredi 29 août dernier, les plaignants en attendant le mis en cause, Ahmed Khalifa Niasse.