Une défaite électorale sonne en général l’heure des règlements de compte entre parties adverses dans une démocratie très fragile. L’alternance politique de 2000 nous a fourni au moins un enseignement d’importance concernant la morale politique et l’état de conviction idéologique de nos dirigeants : le départ du pouvoir est une épreuve assez difficile à l’issue de laquelle certains de nos dirigeants acceptent volontiers de sacrifier dignité et intégrité sur l’autel d’un calcul d’intérêts personnels qui les entraînent vers les prairies du nouvel arrivant au pouvoir. Les journalistes attribuent le nom de « transhumance » à ce phénomène politique essentiellement anti-démocratique. Et, les hommes et les femmes qui partaient de leurs formations politiques dans l’opposition pour le parti au pouvoir ont pris soin d’expliquer leur « transhumance », à défaut de la justifier.
Pour accomplir cet exercice politico-intellectuel voué à leur faire remporter la sympathie du nouvel élu, lorsqu’on leur demande les raisons de leur « transhumance », ils lâchent sans conviction aucune que c’est pour le programme de celui-ci. On sait que pour les vedettes de la « transhumance »politique l’idéologie politique est une question de seconde zone et que les valeurs de fidélité et loyauté devant ses engagements apparaissent comme un frein à la réalisation d’ambitions personnelles démesurées. La recherche du bouc-émissaire est le fer de lance de leur stratégie. C’est ainsi que M.Khoureychi Thiam a attendu la chute du régime libéral pour se rendre compte des coups bas qu’on lui assénés au sein de son parti. Tant que son parti était au pouvoir toutes les humiliations à lui infligées étaient encore acceptables ! Au contraire, en étant le « valet » du Prince, il a bénéficié de toutes les largesses du Pouvoir.
L’ancien ministre aime bien nous impressionner par son impertinence, son imprudence et son énorme habileté à se faire passer pour la victime. Lui, le Seul Ministre originaire de Tambacounda depuis 12 ans et, qui, pour ses ambitions personnelles, torpille tout projet de développement entrepris par des dignes fils de cette belle région. Lui, qui pour plaire au Prince Karim Wade, attaqua de manière violente l’ex Premier ministre Souleymane Ndéné N’diaye à Tambacounda. Monsieur Khoureychi Thiam, les populations de Tambacounda ont une claire conscience de votre incapacité à servir leurs intérêts et la certitude que votre cirque médiatique n’est destiné qu’à leur faire oublier le bilan calamiteux de votre ministère au plan politique local. Rassurerez-vous monsieur Khoureychi Thiam elles ne sont pas près de l’oublier et ne renonce pas laisser désormais aboyer pendant que la caravane du renouveau politique poursuivra son chemin sur les voies de notre localité.
Mouvement Initiatives Tambacounda (MITA)
Contact : Mita.senegal@gmail.com
Pour accomplir cet exercice politico-intellectuel voué à leur faire remporter la sympathie du nouvel élu, lorsqu’on leur demande les raisons de leur « transhumance », ils lâchent sans conviction aucune que c’est pour le programme de celui-ci. On sait que pour les vedettes de la « transhumance »politique l’idéologie politique est une question de seconde zone et que les valeurs de fidélité et loyauté devant ses engagements apparaissent comme un frein à la réalisation d’ambitions personnelles démesurées. La recherche du bouc-émissaire est le fer de lance de leur stratégie. C’est ainsi que M.Khoureychi Thiam a attendu la chute du régime libéral pour se rendre compte des coups bas qu’on lui assénés au sein de son parti. Tant que son parti était au pouvoir toutes les humiliations à lui infligées étaient encore acceptables ! Au contraire, en étant le « valet » du Prince, il a bénéficié de toutes les largesses du Pouvoir.
L’ancien ministre aime bien nous impressionner par son impertinence, son imprudence et son énorme habileté à se faire passer pour la victime. Lui, le Seul Ministre originaire de Tambacounda depuis 12 ans et, qui, pour ses ambitions personnelles, torpille tout projet de développement entrepris par des dignes fils de cette belle région. Lui, qui pour plaire au Prince Karim Wade, attaqua de manière violente l’ex Premier ministre Souleymane Ndéné N’diaye à Tambacounda. Monsieur Khoureychi Thiam, les populations de Tambacounda ont une claire conscience de votre incapacité à servir leurs intérêts et la certitude que votre cirque médiatique n’est destiné qu’à leur faire oublier le bilan calamiteux de votre ministère au plan politique local. Rassurerez-vous monsieur Khoureychi Thiam elles ne sont pas près de l’oublier et ne renonce pas laisser désormais aboyer pendant que la caravane du renouveau politique poursuivra son chemin sur les voies de notre localité.
Mouvement Initiatives Tambacounda (MITA)
Contact : Mita.senegal@gmail.com