”En 2023, nous avons enregistré 18 décès de femmes liés à des grossesses dont 13 étaient pourtant évitables ”, a-t-elle déploré.
Elle s’exprimait au cours d’un panel d’échanges sur les barrières liées à l’utilisation des méthodes de planification familiale et de plaidoyer pour l’engagement des collectivités territoriales dans le financement de ces questions.
”Les cinq autres femmes décédées portaient des grossesses à risque”, a ajouté la maitresse sage-femme du centre du santé Ahmadou Malick Gaye de Podor.
Elle a indiqué que le taux de contraception du district sanitaire est acceptable, relevant, toutefois, un certain nombre de difficultés .
”Nous sommes confrontés à des difficultés dans l’utilisation, la disponibilité, l’accessibilité géographique et financière des produits de planification familiale”, a-t-elle expliqué.
Elle a ainsi appelé les collectivités territoriales à appuyer les postes de santé du district sanitaire de Podor, pour réduire la mortalité mère-enfant et renforcer l’utilisation des produits de planification familiale”.
Concernant la prévalence contraceptive, ”nous nous sommes fixés le défi d’atteindre un taux de 30% en 2025 avec une bonne utilisation des produits de planification familiale et le maintien des femmes dans cette dynamique”, a-t-elle indiqué.
Pour y arriver, selon elle, ”il faut un engagement effectif de tous les acteurs impliqués, particulièrement les autorités administratives, les collectivités territoriales, les sages-femmes, les +Bajenu Gox+, les religieux, entre autres”.
La rencontre qui a enregistré la participation de plusieurs élus territoriaux, des partenaires, des sages-femmes et des + Bajenu Gox+ (marraines de quartier), a été présidée par l’adjoint au préfet de Podor, Ousmane Sidibé.
Elle s’exprimait au cours d’un panel d’échanges sur les barrières liées à l’utilisation des méthodes de planification familiale et de plaidoyer pour l’engagement des collectivités territoriales dans le financement de ces questions.
”Les cinq autres femmes décédées portaient des grossesses à risque”, a ajouté la maitresse sage-femme du centre du santé Ahmadou Malick Gaye de Podor.
Elle a indiqué que le taux de contraception du district sanitaire est acceptable, relevant, toutefois, un certain nombre de difficultés .
”Nous sommes confrontés à des difficultés dans l’utilisation, la disponibilité, l’accessibilité géographique et financière des produits de planification familiale”, a-t-elle expliqué.
Elle a ainsi appelé les collectivités territoriales à appuyer les postes de santé du district sanitaire de Podor, pour réduire la mortalité mère-enfant et renforcer l’utilisation des produits de planification familiale”.
Concernant la prévalence contraceptive, ”nous nous sommes fixés le défi d’atteindre un taux de 30% en 2025 avec une bonne utilisation des produits de planification familiale et le maintien des femmes dans cette dynamique”, a-t-elle indiqué.
Pour y arriver, selon elle, ”il faut un engagement effectif de tous les acteurs impliqués, particulièrement les autorités administratives, les collectivités territoriales, les sages-femmes, les +Bajenu Gox+, les religieux, entre autres”.
La rencontre qui a enregistré la participation de plusieurs élus territoriaux, des partenaires, des sages-femmes et des + Bajenu Gox+ (marraines de quartier), a été présidée par l’adjoint au préfet de Podor, Ousmane Sidibé.