A la pêche aux suffrages, la fortune ne leur a pas tellement souri. Ces petits poucets que des ambitions législatives ont jetés dans la mare politique sénégalaise s’en sont sortis avec plus d’échecs que de victoire. La liste Salaam de Abdou Samath Mbacké est la seule des dites religieuses qui ne siègera pas aux côtés de celles de Mansour Sy Djamil (Bes du Ñakk), de Imam Mbaye Niang (Mrds), de Kara (Pvd) et de Khadim Thioune (Faxas). Tout comme la Cap 21, celle dirigée par Demba Dia, Alliance Pencoo de Moussa Tine et son ex-compagnon de Jëf Jël, Talla Sylla et son Wa Senegaal. Tekki de Mamadou Lamine Diallo refuse de mourir et décroche un siège. Ndèye Fatou Touré ne retournera à l’Hémicycle que si le leader de son mouvement cède la place.
Diop Sy (Convergence patriotique pour la justice et l’équité Cpje) et Alassane Ndoye (Deggo souxali transport ak commerce) qui s’identifient à la «nouvelle société civile» syndicale seront à l’Assemblée nationale. L’avocat El haj Diouf retourne à l’Hémicycle avec un député pour sa liste Leeral. Un défi qu’il s’était lancé et qu’il avait lancé à ses anciens alliés de Benno bokk yaakaar qui ne l’avaient pas investi. Celui qui s’est autoproclamé «l’homme du 23 juin» a des arguments pour répondre à ceux qui l’avaient pris pour mort, quelques heures seulement après les résultats du scrutin de dimanche. Lui-même avait perdu tout espoir en avouant, dans Le Populaire du lundi 2 juillet, sa «déception» et son «amertume», estimant que «ce sont ceux qui ne méritent rien qui ont gagné».
SOURCE:lequotidien.sn
Diop Sy (Convergence patriotique pour la justice et l’équité Cpje) et Alassane Ndoye (Deggo souxali transport ak commerce) qui s’identifient à la «nouvelle société civile» syndicale seront à l’Assemblée nationale. L’avocat El haj Diouf retourne à l’Hémicycle avec un député pour sa liste Leeral. Un défi qu’il s’était lancé et qu’il avait lancé à ses anciens alliés de Benno bokk yaakaar qui ne l’avaient pas investi. Celui qui s’est autoproclamé «l’homme du 23 juin» a des arguments pour répondre à ceux qui l’avaient pris pour mort, quelques heures seulement après les résultats du scrutin de dimanche. Lui-même avait perdu tout espoir en avouant, dans Le Populaire du lundi 2 juillet, sa «déception» et son «amertume», estimant que «ce sont ceux qui ne méritent rien qui ont gagné».
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