Alertés par des voisins bouleversés, les éléments du commissariat d’arrondissement de Guinaw Rails se sont immédiatement rendus sur les lieux, accompagnés d’une équipe de la Brigade de Recherches.
À leur arrivée, ils découvrent le corps sans vie d’A. Sall, gisant dans une mare de sang sur le sol de la cour familiale, la bonbonne de gaz ensanglantée posée à ses côtés. Les sapeurs-pompiers, dépêchés sur place, ont évacué le corps vers l’hôpital le plus proche, pour autopsie.
Le constat médico‐légal atteste de la violence extrême de l’attaque. Selon les témoignages recueillis dans le voisinage, le présumé meurtrier souffre de troubles mentaux depuis plus de dix ans. Il était régulièrement suivi à l’hôpital psychiatrique de Thiaroye. Sa mère, domiciliée dans la région de Matam, était venue à Dakar la veille du drame, le jeudi 10 avril 2025, pour accompagner son fils à un rendez‐vous médical.
Grâce aux investigations menées par les hommes du commissaire Pathé Gaye, le suspect, qui avait pris la fuite immédiatement après son geste, a été interpellé le lendemain matin, dans le même quartier.
Il ne portait pas de chaussures et semblait errer sans but. Il a été placé en garde-à-vue dans les locaux du commissariat de Guinaw‐Rails. Une expertise psychiatrique a été demandée, pour évaluer son état mental au moment des faits.
À leur arrivée, ils découvrent le corps sans vie d’A. Sall, gisant dans une mare de sang sur le sol de la cour familiale, la bonbonne de gaz ensanglantée posée à ses côtés. Les sapeurs-pompiers, dépêchés sur place, ont évacué le corps vers l’hôpital le plus proche, pour autopsie.
Le constat médico‐légal atteste de la violence extrême de l’attaque. Selon les témoignages recueillis dans le voisinage, le présumé meurtrier souffre de troubles mentaux depuis plus de dix ans. Il était régulièrement suivi à l’hôpital psychiatrique de Thiaroye. Sa mère, domiciliée dans la région de Matam, était venue à Dakar la veille du drame, le jeudi 10 avril 2025, pour accompagner son fils à un rendez‐vous médical.
Grâce aux investigations menées par les hommes du commissaire Pathé Gaye, le suspect, qui avait pris la fuite immédiatement après son geste, a été interpellé le lendemain matin, dans le même quartier.
Il ne portait pas de chaussures et semblait errer sans but. Il a été placé en garde-à-vue dans les locaux du commissariat de Guinaw‐Rails. Une expertise psychiatrique a été demandée, pour évaluer son état mental au moment des faits.