Pour les membres du directoire qui comprend Moustapha Diakhaté, animateur du courant Taxawu Sopi du Pds, Papa Massène Seck, membre de la Cellule initiatives et stratégies (Cis) du même parti, Mor Dieng, un dissident de l’Alliance des forces de progrès (Afp), Dr Ndèye Mané Diop, Babacar Ndao, ancien Dg de la Lonase etc, la nouvelle Coalition Sopi 2009, constitués du Pds et de ses alliés de la Cap 21, soutiennent que ces derniers « auront fort à faire pour réduire les votes-sanctions de ses propres militants dans l’ensemble des collectivités locales de notre pays ».
Les camarades de Me Wade avancent que « la gestion du pouvoir avec des scandales, des pénuries et la reconduction, sur les listes électorales, d’élus locaux fortement désavoués pourraient réserver des surprises (désagréables) au régime politique (au pouvoir) et à la direction nationale du Pds ».
L’analyse de la situation politique pousse Moustapha Diakhaté à faire la remarque suivante : « Les collectivités locales sont des agences de recasement et de gestion d’une clientèle politique. Ce n’est pas ça leur mission. Je ne connais pas le bilan exhaustif de la gestion des collectivités locales. Je ne partage pas la gestion faite des collectivités locales par mon parti. Les collectivités locales sont les antichambres des partis politiques, ce n’est pas cela leur mission ». Lui emboîtant le pas, le libéral Babacar Ndao est d’avis qu’il faut « rompre avec cette méthode et ces pratiques ».
Interpellé sur les retrouvailles Idrissa Seck/Me Wad, les tenants de la coalition Farlu ci bëg bëggu Askan wi ne lui accordent aucune espèce d’importance face aux urgences qui les interpellent pour répondre positivement aux aspirations des populations.
source sud quotidien
Les camarades de Me Wade avancent que « la gestion du pouvoir avec des scandales, des pénuries et la reconduction, sur les listes électorales, d’élus locaux fortement désavoués pourraient réserver des surprises (désagréables) au régime politique (au pouvoir) et à la direction nationale du Pds ».
L’analyse de la situation politique pousse Moustapha Diakhaté à faire la remarque suivante : « Les collectivités locales sont des agences de recasement et de gestion d’une clientèle politique. Ce n’est pas ça leur mission. Je ne connais pas le bilan exhaustif de la gestion des collectivités locales. Je ne partage pas la gestion faite des collectivités locales par mon parti. Les collectivités locales sont les antichambres des partis politiques, ce n’est pas cela leur mission ». Lui emboîtant le pas, le libéral Babacar Ndao est d’avis qu’il faut « rompre avec cette méthode et ces pratiques ».
Interpellé sur les retrouvailles Idrissa Seck/Me Wad, les tenants de la coalition Farlu ci bëg bëggu Askan wi ne lui accordent aucune espèce d’importance face aux urgences qui les interpellent pour répondre positivement aux aspirations des populations.
source sud quotidien