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EXCLUSIF! Cour de justice de la CEDEAO, l’Etat perd la première manche contre Karim

La guerre de procédure fait rage entre avocats de l’Etat et ceux de Karim Wade, depuis leur face à face à la Cours de justice de la CEDEAO. Au sortir de celle-ci, les avocats de l’Etat ont crié victoire. Mais ce qui ressort de cette audience, c’est l’Etat qui a perdu cette manche stratégique, indique une source ayant participé au procès, qui n’a pas duré plus d’une heure.


Rédigé par leral.net le Samedi 18 Mai 2013 à 20:43 | | 16 commentaire(s)|

EXCLUSIF! Cour de justice de la CEDEAO, l’Etat perd la première manche contre Karim
«La Cour n’a jamais déclaré que le référé de Karim Wade était sans objet et les avocats de ce dernier n’ont renoncé à aucune de leur demande», avait déjà fait comprendre un des avocats de Karim Wade pour répliquer aux sorties de l’autre partie qui criait victoire après l’audience d’Abuja, au Nigéria. Des infos provenant de la capitale nigérianes semblent donner raisons aux Avocats de Karim. «Ce sont les avocats de l État qui ne maîtrisent pas les procédures de la Cour qui n’ont pas su déjouer la manœuvre de consolidation de l’ensemble des demandes de Karim par ses avocats pour que la Cour statue sur le tout en une seule décision », indique une source contactée par derniereminute.sn qui a participé à l’audience qui a démarré vers midi pour se terminer vers 13 h 45. Soit moins de deux heures d’explications.

Pour preuve, selon notre interlocuteur, «les exceptions soulevées par l’État ont connu le même sort alors que des conseils avisés auraient du demander pour une bonne défense de l’État que ces exceptions soient d’abord vidées. Les avocats de Karim sont très satisfaits d’avoir ainsi atteint les objectifs qu’il s’étaient fixés pour cette audience, c’est à dire joindre tout leur dossier et obtenir une décision dans un délai court. Autrement dit c’est l’État du Sénégal qui devrait avoir des soucis à se faire ».

D’ailleurs ajoute notre source qui est très proche du dossier, «les demandes formulées en référé ont pu ainsi être réactualisées en tenant compte de l’évolution du dossier. Introduite avant l’arrestation de Karim pour demander l’interdiction de toute poursuite contre leur client par la Crei, elle est devenue à l’issue de l’audience du 17, une demande de suspension de toute poursuite par la Crei et de constat du caractère arbitraire de la détention ».

Pour rappel les avocats de Karim avaient saisi la cour de justice de quatre requêtes une, introductive d’instance, une en référé et une autre en procédure accélérée. Après l’arrestation de Karim Wade, ils avaient introduit également une requête en admission de moyens nouveaux pour prendre en compte la détention.

Après que la Cour ait fait droit à leur demande de procédure accélérée, ils ont demandé que toutes les autres requêtes soient jointes et jugées en une seule fois. Ce que la Cour à admis.

Donc, conclut notre interlocuteur, si une victoire devait être retenue sur l’audience, c’est plutôt l’État qui a perdu cette manche stratégique en ayant pas su exiger qu’il soit statué préalablement sur ses exceptions et en n’ayant pas su s’opposer à la jonction du référé au fond.

www.derniereminute.sn

( Les News )


1.Posté par ndiaye le 18/05/2013 21:30 | Alerter
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cdaoa blaise capaore putchiste watara instale de force par la france le malien interimaire le nigerian extra ils ne sont pas credible

2.Posté par ceddoo le 18/05/2013 21:54 | Alerter
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AVOCATS CONTRE SA NATION, QUELLE PATRIOTISME,,,,,,,,,,,,,,AHAHAHAHAAAAAAAAAAAAAAA

3.Posté par liberezkarim le 18/05/2013 22:18 | Alerter
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LETTRE OUVERTE DE KARIM WADE ( DATANT DE JUILLET 2011)

Pendant ces dernières années, ces derniers mois, ces dernières semaines et ces derniers jours, notamment lors des événements des 23 et 27 juin 2011, nous avons tout vu, tout lu et tout entendu. L’heure est venue pour moi de m’exprimer. Le temps est venu de délivrer, du fond du cœur, un message de vérité, de fraternité et de sincérité.

Je me dois d’autant plus de le faire que tout un chacun sait que je suis la cible d’attaques profondément injustes.

Depuis mon entrée dans l’espace public en qualité de Conseiller Spécial du Président de la République, puis de Président du Conseil de Surveillance de l’Agence nationale de l’Organisation de la Conférence Islamique (ANOCI) et actuellement comme Ministre d’Etat, Ministre de la Coopération internationale, des Transports aériens, des Infrastructures et de l’Energie, malgré tous les efforts que je continue de déployer pour le développement économique et social du Sénégal, des passions se déchaînent, des haines se ravivent. Pourtant rien ne m’a été donné. Avec mes collaborateurs et fort de l’expertise nationale et internationale, nous sommes toujours partis de rien, pour aboutir à ce que l’on voit.

Jamais dans l'histoire du Sénégal, un homme public n’a reçu, autant de coups, de propos diffamatoires et outrageants. Systématiquement, je suis l'objet de graves accusations, de profondes détestations, d’attaques hallucinantes de la part de ceux qui nous connaissent à peine ou pas du tout.

Impitoyablement, je suis sanctionné sans être entendu, jugé dans des procès sans défense, « condamné » sans recours possible. De ma présomption d’innocence, on s’en passe automatiquement. On me prête beaucoup trop ! Qu’on perde un marché public, une position, une faveur, un privilège, un titre, une fonction, aussitôt l’on me rend responsable. Qu’un ministre soit limogé, il prétend que son départ est la conséquence immédiate de son refus d'un prétendu projet de « dévolution monarchique du pouvoir ». Lorsqu’il pleut un peu trop à Dakar, je suis indexé ; lorsque le vent emporte le toit d'une maison à Pikine, je suis pointé du doigt ; lorsqu’un train déraille à Thiès, j'y suis pour quelque chose ; lorsqu’un accident survient sur la route, je suis vilipendé.

Conformément à nos valeurs sénégalaises, je leur accorde mon pardon.

Tout comme le Chef de l’Etat, je combats toute idée de dévolution monarchique du pouvoir.

Fort heureusement, nombreux sont nos compatriotes qui refusent de se laisser entraîner dans la campagne sur le supposé projet de dévolution du pouvoir de « père en fils » qui constitue aujourd'hui la panacée pour tout expliquer et tout comprendre.

Si cette idée a continué de prospérer au point de susciter des rancœurs et parfois même de la haine envers le modeste passant sur terre que je suis, c'est parce qu'elle est savamment entretenue par une partie des acteurs politiques aidée en cela par certains journalistes, - véritables machines de guerre contre ma petite personne. Cette confusion doit finir ! Cette intoxication doit s’arrêter ! Cette injustice doit cesser.

Je le répète et le répéterai aussi longtemps que cela est nécessaire : c’est une insulte faite aux Sénégalais que de parler d’un projet de dévolution monarchique. Un tel projet n’a été, n’est et ne sera jamais dans les intentions du Président de la République ni dans les miennes. C’est universellement connu, le Sénégal connaît une longue tradition républicaine et démocratique. La souveraineté appartient au peuple qui, au terme d’élections libres, démocratiques et transparentes, confie le pouvoir à celui en qui il a confiance.

Comme vous le savez, le Président de la République Me Abdoulaye Wade est habité par la passion du Sénégal et ne respire que pour l'Afrique et plus généralement pour la paix. Plus d’un quart de siècle de combat pour l’approfondissement de la démocratie et pour la conquête des droits individuels et collectifs. Plus d’un quart de siècle de lutte pour la liberté d’expression et pour la transparence des élections.

Comme tout être humain, je demande à être entendu, jugé sur des actes vérifiés et donc probants et non sur des rumeurs sans fondement.

Les Sénégalais exigent tout naturellement des réalisations palpables et concrètes, source d'espoir et de confiance en l'avenir. En ce qui me concerne, dans la quotidienneté des missions gratifiantes mais ô combien difficiles, je m'attèle, en permanence, à servir le Sénégal en accompagnant mes sœurs et frères vers une meilleure qualité de vie.

J'ai choisi la difficulté, en refusant le scénario de la facilité. J'ai accepté les missions qui m'ont été confiées jusque-là, pour avoir l’opportunité de mieux servir mon pays.

Le travail nous occupe nuit et jour et nous sommes conscients qu'il reste beaucoup à réaliser encore, pour la création des emplois, la réduction du coût de la vie, l’éradication de la pauvreté, l'accès aux logements sociaux, la construction d'infrastructures, un meilleur environnement pour la compétitivité de nos entreprises pour l’émergence définitive du Sénégal du futur. A côté des millions de Sénégalais, nous participons quotidiennement à relever le défi.

Je vis pleinement, tout comme l’ensemble des responsables de ce pays, la double préoccupation majeure de la solution définitive au récurrent problème de la fourniture régulière et suffisante de l’électricité dans les ménages et les entreprises ainsi que l'amélioration quantitative et qualitative du panier de la ménagère.

Lors des événements passés, il n’y a certes pas eu mort d’homme, mais il faut sincèrement déplorer, vivement regretter et fermement sanctionner les scènes de pillages, les actes de banditisme et de profanation des lieux de culte. Nous avons le droit de manifester ; mais nous n’avons pas le droit de saccager les biens d’autrui encore moins de piller.

Nous avons la profonde conviction que la démocratie sénégalaise en sortira toujours grandie et renforcée. Désormais, il y a un avant et un après 23 juin. Ce message ne peut être ignoré ni par le pouvoir, ni par l’opposition. Notre formation politique, le PDS, et nos alliés ne peuvent faire autre chose que de consolider les acquis démocratiques de Léopold Sédar Senghor, d’Abdou Diouf et de Me Abdoulaye Wade.

N’en déplaisent aux magiciens de la désinformation, aux adeptes de la propagande politique, aux manipulateurs de l’opinion publique nationale et internationale, nous disons avec force et conviction que le sentiment démocratique est très fort ici. Chez nous, il n’y a qu’un seul et unique chemin pour accéder au pouvoir : celui des urnes. Au Sénégal, en France, en Angleterre, aux Etats-Unis et dans toutes les démocraties, le pouvoir ne s’hérite pas, il se conquiert par la voix des urnes.

En conclusion, il nous faut renouveler notre ambition pour le Sénégal, en compagnie de citoyens simples et droits, courageux et travailleurs, issus des centres urbains, de la banlieue et des zones rurales et avec tous les millions d’hommes, de jeunes et de femmes qui nourrissent autant d’amour et de passion pour notre cher Sénégal.


Fait à Dakar, le 03 juillet 2011

Karim Wade

4.Posté par dakar le 18/05/2013 22:22 | Alerter
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quelle est votre source c'est l'observateur qui a donné les info c facil de donner les infos comm ca faite comm eux d éployer un envoyer special

5.Posté par dakar le 18/05/2013 22:22 | Alerter
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8.Posté par Vous ne faites .... le 18/05/2013 22:59 | Alerter
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Vous ne faites que parlez mais il y aucune victoire à brandir. Je vois que vous écrivez en prenant partie mais à mon avis la victoire ce sera lorsque la Cour prononcera son verdict.
Ce qui est sûr est que le Sénégal n'en à cure car ce verdict ne le liera pas. Alors vous ne faites que parloter.

9.Posté par laaayelow le 18/05/2013 23:44 | Alerter
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Avec des avocats comme maitres Elhadj diouf, Phelix sow ( le mème qui ns annonçait 400 milliards transférés de la france à Dubai sans ètre en mesure jusqu'à prèsent d'apporter ne serait qu'un début de preuve), c'est très facile de perdre un procès meme si on a raison. Ecouter les bien quand ils parlent, ils vous inonderont de discours très souvent privés de textes et règles de droit pr étayer leurs propos.

10.Posté par allé le 19/05/2013 00:15 | Alerter
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Le rôle des avocats est de freiner la procédure pour défendre leurs clients. C'est connu. la presse doit cesser de nous intoxiquer et laisser la justice suivre son cours

11.Posté par patriot le 19/05/2013 09:13 | Alerter
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Attention YOU. Ton journal est en train de devenir un nid de VENDUS !

12.Posté par kily le 19/05/2013 10:18 | Alerter
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cette soit disant cour de justice de la Cdeao ne m'inspire pas du tout confiance . Qu'à t'elle fait quand Abdoulaye Wade semait le trouble dans le pays durant 12 ans . Notre justice fera son travail jusqu'au bout . Ils ne peuvent pas piller les deniers du pays après crier à l'injustice . C'est trop facile. Je comprends pourquoi Wade est resté calme depuis l'arrestation de son fils je parie qu'il a reçu l'assurance de cette cour à défendre Karim quoiqu'il arrive; Raison pour laquelle depuis le début ils font la grande gueule . Il faut que que le régime actuel soit ferme à leur décision jusqu'à la fin et donc pas question de céder car cette cour n'est pas crédible.

13.Posté par macky-injuste le 19/05/2013 10:58 | Alerter
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je me demande comment MACKY peut 'il developper le senegal en regroupant tous les demons du pays qui passent tout leur en mangeant la chaire des dignes et courageux senegalais en les diffamant en longueur de journèe.DE GRACE PENSEZ VOUS UN PEU à DIEU...

14.Posté par Mame FALL le 19/05/2013 20:35 | Alerter
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La vérité vaincra.

15.Posté par senegal le 20/05/2013 09:02 | Alerter
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ak macky senegal doumusa am ndam

16.Posté par XOUSSMA-NIAP le 20/05/2013 17:09 | Alerter
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CEDEAO ou CEDE EN HAUT, qu'importe, c'est notre justice qui tranchera pour le peuple sénégalais. SOUNOU KHALISS DOU REESSEE NOONOU !

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