Sous ce rapport, CD Media Group, notre entreprise de presse, est en train de jouer sa partition citoyenne et démocratique. Notre groupe de presse comprend : un journal (Le Pays au Quotidien), un portail d’informations (www.lesenegalais.net), un mensuel people et politique (Dakar Match), bientôt une radio et une télévision si la puissance publique ne met pas en branle sa machine à broyer.
CD Media Group - qui compte plusieurs salariés et se glorifie d’employer des journalistes qualifiés et soucieux de l’éthique et de la déontologie - est déjà une grande famille habitée par son plan de développement harmonieux et ambitieux. CD Média Group est « un projet de vie et un projet pour la vie ». En conséquence, il va bien au-delà des contingences partisanes et politiciennes.
« Le Pays au Quotidien » et www.lesenegalais.net dérangent beaucoup. Enormément. Aussi bien pour les tenants du pouvoir que la néo-opposition. Quand les nouveaux maîtres du Pays croient dur comme fer que nous sommes « aux ordres », les anciens maîtres du Sénégal pensent pouvoir influencer notre ligne éditoriale. Dans l’un et dans l’autre cas, rien n’est plus faux et aléatoire. Les jours et semaines à venir témoigneront pour nous.
Une semaine après la défaite du Président Abdoulaye Wade, une radio, « amie excessive », a poussé la stupéfiante inélégance et la goujaterie confraternelle, en venant interviewer nos braves journalistes sur leur avenir professionnel et leur outil de travail. Bon passons. Aujourd’hui, les rôles ont changé. C’est eux qui ont le label désobligeant de « médias proches du Palais ». Nous avons, à tort ou à raison, l’étiquette peu fondée de« médias proches de l’opposition ». En parlant de l’opposition, la transition est trouvée, pour apporter à la famille libérale, dans son ensemble, des clarifications définitives, afin que nul n’en ignore.
Ce journal n’a pas partie liée avec le Président Wade. Nous l’aimons bien, mais ni lui, ni Karim Wade ne sont commanditaires de nos articles. « Le Pays » n’a strictement aucune relation avec le Parti Démocratique Sénégalais. Il n’est pas un organe de parti. Encore moins un cabinet de défense et d’offense. Il fallait que cela fût dit de manière claire, nette et précise. Certes, nous avons des positions authentiques, des amitiés assumées et une ligne éditoriale farouche. Mais, si le Président Macky Sall engrange de bons points, nous serons les premiers à l’écrire et même à le féliciter. Si dans la famille libérale, « les loups se mangent entre eux », notre lectorat en sera rigoureusement informé. En réalité, notre parti est le « tout-info ». Cet impérieux devoir d’informer, quoi qu’il nous en coûte. Nous sommes sur la voie du journalisme grand public : actualité immédiate, enquêtes sur les scandales passés et à venir, reportages sur les faits politiques, économiques et de société.
« Le Pays au Quotidien » a fait le pari osé et risqué du journalisme professionnel et irrévérencieux comme la démonstration en a été faite dans un passé récent. Nous croyons au devoir d’irrévérence, ce privilège rare des démocraties modernes. En neuf mois seulement dans le paysage médiatique, ce vilain canard [il passe bientôt de 12 à 16 pages] a obtenu son brevet de fréquentabilité. A présent, Dieu voulant, ce navire-amiral de notre groupe est en train de se « notabiliser », grâce à nos nombreux lecteurs et annonceurs. Qu’ils en soient remerciés. Sincèrement…
CHEIKH DIALLO
Directeur Général
CD Media Group - qui compte plusieurs salariés et se glorifie d’employer des journalistes qualifiés et soucieux de l’éthique et de la déontologie - est déjà une grande famille habitée par son plan de développement harmonieux et ambitieux. CD Média Group est « un projet de vie et un projet pour la vie ». En conséquence, il va bien au-delà des contingences partisanes et politiciennes.
« Le Pays au Quotidien » et www.lesenegalais.net dérangent beaucoup. Enormément. Aussi bien pour les tenants du pouvoir que la néo-opposition. Quand les nouveaux maîtres du Pays croient dur comme fer que nous sommes « aux ordres », les anciens maîtres du Sénégal pensent pouvoir influencer notre ligne éditoriale. Dans l’un et dans l’autre cas, rien n’est plus faux et aléatoire. Les jours et semaines à venir témoigneront pour nous.
Une semaine après la défaite du Président Abdoulaye Wade, une radio, « amie excessive », a poussé la stupéfiante inélégance et la goujaterie confraternelle, en venant interviewer nos braves journalistes sur leur avenir professionnel et leur outil de travail. Bon passons. Aujourd’hui, les rôles ont changé. C’est eux qui ont le label désobligeant de « médias proches du Palais ». Nous avons, à tort ou à raison, l’étiquette peu fondée de« médias proches de l’opposition ». En parlant de l’opposition, la transition est trouvée, pour apporter à la famille libérale, dans son ensemble, des clarifications définitives, afin que nul n’en ignore.
Ce journal n’a pas partie liée avec le Président Wade. Nous l’aimons bien, mais ni lui, ni Karim Wade ne sont commanditaires de nos articles. « Le Pays » n’a strictement aucune relation avec le Parti Démocratique Sénégalais. Il n’est pas un organe de parti. Encore moins un cabinet de défense et d’offense. Il fallait que cela fût dit de manière claire, nette et précise. Certes, nous avons des positions authentiques, des amitiés assumées et une ligne éditoriale farouche. Mais, si le Président Macky Sall engrange de bons points, nous serons les premiers à l’écrire et même à le féliciter. Si dans la famille libérale, « les loups se mangent entre eux », notre lectorat en sera rigoureusement informé. En réalité, notre parti est le « tout-info ». Cet impérieux devoir d’informer, quoi qu’il nous en coûte. Nous sommes sur la voie du journalisme grand public : actualité immédiate, enquêtes sur les scandales passés et à venir, reportages sur les faits politiques, économiques et de société.
« Le Pays au Quotidien » a fait le pari osé et risqué du journalisme professionnel et irrévérencieux comme la démonstration en a été faite dans un passé récent. Nous croyons au devoir d’irrévérence, ce privilège rare des démocraties modernes. En neuf mois seulement dans le paysage médiatique, ce vilain canard [il passe bientôt de 12 à 16 pages] a obtenu son brevet de fréquentabilité. A présent, Dieu voulant, ce navire-amiral de notre groupe est en train de se « notabiliser », grâce à nos nombreux lecteurs et annonceurs. Qu’ils en soient remerciés. Sincèrement…
CHEIKH DIALLO
Directeur Général