Quand le lion rugit, la forêt se vide de ses occupants. Nul n'ose aujourd'hui évoquer la situation politique actuelle de Thiès et faire fi de la percée fulgurante remarquable de l'enfant chéri du quartier de Randoulène et non moins président du Réseau d'appui pour le développement de Thiès. Aucun observateur averti du landerneau politique thiessois, ne peut passer sous silence le miracle réalisé par la force tranquille de la ville des deux gares lors des Locales, en déracinant un baobab vieux d'une vingtaine d'années d'occupation ininterrompue d'un fief "estampillé titre foncier".
Comme s'il avait fait sienne l'assertion du brillantissime conseiller en communication de Mitterrand, Jacques Attali pour ne pas le citer, l'utopie n'est rien d'autre qu'une réalité en construction, le président Habib Kane a réussi, là où tous les régimes successifs de Diouf , Wade et Macky Sall ont montré leurs limites. Le président Habib Kane a fait sa razzia partout. Mais le plus marquant, dans cette prouesse, qui relevait d'une mission politiquement suicidaire et impossible, est le contrôle stratégique du centre de vote de Malick Kaïré.
L'évocation de cette établissement scolaire fait penser sans aucun doute à cet illustre et authentique thiessois, torturé injustement, traîné injustement dans la boue, de façon lâche à cause de son amour filial pour sa ville. Si j'étais sûr et certain que vous alliez vous intéresser à ces dernières Locales, je ne me serais jamais présenté contre vous ou travailler à vous fragiliser. Vous êtes mon grand frère et nous partageons Thiès et Randoulène en commun, avait répondu le président Habib Kane au président Idrissa Seck, qui venait de l'appeler pour le féliciter de son exploit.
Lorsque le président Idrissa seck l'a invité à venir le soutenir, il n'a posé aucune condition. Le seul engagement qu'il avait pris, était de lui remettre sans dommage son titre foncier. Ce qui fit fait. Le président Idrissa seck avait perçu le déplacement à une vitesse supersonique de son électorat comme un séisme politique. Mais son cadet Habib Kane ne brandit pas le trophée de guerre. Il ne jubile pas après avoir remporté la mère des batailles.
En thiessois attaché à son terroir, conscient qu'aucun développement local n'est possible et durable sans l'accompagnement des autorités centrales, le président Habib Kane, après une concertation poussée avec sa base politique et affective, a pris la sage et opportune décision d'aller répondre à l'invite de son grand frère et ami, le président Idrissa seck.
Sa récente nomination aux importantes fonctions de Conseiller Spécial auprès du Président du CESE, est un acte fort. Nul doute que le président Habib Kane saura en faire une bonne lecture, en engageant sans tarder la redoutable bataille de la reconquête d'une nouvelle majorité présidentielle à Thiès.
Comme s'il avait fait sienne l'assertion du brillantissime conseiller en communication de Mitterrand, Jacques Attali pour ne pas le citer, l'utopie n'est rien d'autre qu'une réalité en construction, le président Habib Kane a réussi, là où tous les régimes successifs de Diouf , Wade et Macky Sall ont montré leurs limites. Le président Habib Kane a fait sa razzia partout. Mais le plus marquant, dans cette prouesse, qui relevait d'une mission politiquement suicidaire et impossible, est le contrôle stratégique du centre de vote de Malick Kaïré.
L'évocation de cette établissement scolaire fait penser sans aucun doute à cet illustre et authentique thiessois, torturé injustement, traîné injustement dans la boue, de façon lâche à cause de son amour filial pour sa ville. Si j'étais sûr et certain que vous alliez vous intéresser à ces dernières Locales, je ne me serais jamais présenté contre vous ou travailler à vous fragiliser. Vous êtes mon grand frère et nous partageons Thiès et Randoulène en commun, avait répondu le président Habib Kane au président Idrissa Seck, qui venait de l'appeler pour le féliciter de son exploit.
Lorsque le président Idrissa seck l'a invité à venir le soutenir, il n'a posé aucune condition. Le seul engagement qu'il avait pris, était de lui remettre sans dommage son titre foncier. Ce qui fit fait. Le président Idrissa seck avait perçu le déplacement à une vitesse supersonique de son électorat comme un séisme politique. Mais son cadet Habib Kane ne brandit pas le trophée de guerre. Il ne jubile pas après avoir remporté la mère des batailles.
En thiessois attaché à son terroir, conscient qu'aucun développement local n'est possible et durable sans l'accompagnement des autorités centrales, le président Habib Kane, après une concertation poussée avec sa base politique et affective, a pris la sage et opportune décision d'aller répondre à l'invite de son grand frère et ami, le président Idrissa seck.
Sa récente nomination aux importantes fonctions de Conseiller Spécial auprès du Président du CESE, est un acte fort. Nul doute que le président Habib Kane saura en faire une bonne lecture, en engageant sans tarder la redoutable bataille de la reconquête d'une nouvelle majorité présidentielle à Thiès.