«Le nombre d’abris provisoires est passé de 8 000 en 2012 à 5 000 abris provisoires en 2023», a révélé Mouhamed Moustapha Diagne. Qui a informé qu’un programme de remplacement des abris provisoires, qui est en cours de réalisation, permettra d’ici deux ans, leur «résorption définitive».
«i[D’ici deux ans, on ne parlera plus d’abris provisoires, mais étant donné qu’il y a 500 000 enfants qui doivent aller au CI [Cours d’initiation] chaque année, les abris qui ne sont pas encore remplacés, sont maintenus]i», a expliqué le directeur de la Formation et de la Communication au ministère de l’Education nationale.
Estimant que «le mal a été coupé à la racine, puisqu’il n’est plus autorisé l’ouverture d’une école ou de classe, sans les justifications d’infrastructures solides de base». Il a rappelé que «pendant plusieurs années, l’administration autorisait la création de nouvelles écoles, sans que les classes physiques ou des écoles ne soient construites».
«Aujourd’hui, cela n’est plus possible. Donc, le gap sera résolu et cela compte non tenu des classes et des écoles livrées par la direction des Constructions scolaires, pour faire face au taux de scolarisation très important», a précisé Mohamed Moustapha Diagne.
«i[D’ici deux ans, on ne parlera plus d’abris provisoires, mais étant donné qu’il y a 500 000 enfants qui doivent aller au CI [Cours d’initiation] chaque année, les abris qui ne sont pas encore remplacés, sont maintenus]i», a expliqué le directeur de la Formation et de la Communication au ministère de l’Education nationale.
Estimant que «le mal a été coupé à la racine, puisqu’il n’est plus autorisé l’ouverture d’une école ou de classe, sans les justifications d’infrastructures solides de base». Il a rappelé que «pendant plusieurs années, l’administration autorisait la création de nouvelles écoles, sans que les classes physiques ou des écoles ne soient construites».
«Aujourd’hui, cela n’est plus possible. Donc, le gap sera résolu et cela compte non tenu des classes et des écoles livrées par la direction des Constructions scolaires, pour faire face au taux de scolarisation très important», a précisé Mohamed Moustapha Diagne.