« Je n’ai jamais prononcé le nom d’Idrissa Seck lors de la conférence de presse j’ai donné ce lundi », s’énerve le député. Qui précise qu’il se fie au verdict de non-lieu rendu par la justice dans l’affaire des chantiers de Thiès. « Je suis un républicain et je ne peux que me faire confiance à la justice de mon pays et elle a tranché en faveur du maire de Thiès dans le cadre des chantiers de Thiès », nous confie-t-il.
Par contre il met ses habits de défenseurs du peuple et contrôleur des dépenses publiques pour demander à Macky Sall de dire aux sénégalais qu’en est-il vraiment des 7 milliards des fonds taiwanais. « Qu’il nous dise de quel compte ca provient et dans quel compte il a été versé. Il doit aussi révéler les noms des bénéficiaires de ces fonds », s’inquiète le député de Latmingué. La dernière déclaration de Djibo Kâ relative a cette affaire a été évoquée par El Hadji Malick Guèye.
A l’en croire, Djibo Kâ a l’obligation de relever comment il a pu acquérir 400 millions de ces fonds. « En tant que députés, nous devons veiller à ce que tout se passe dans la transparence. Est-ce que des appels d’offre ont été faits dans cette affaire ? La loi rectificative des finances publique a-t-elle été respectée ? Autant de questions restent encore sans réponses » laisse entendre le président de la Fédération départementale Pds de Kaolack.
Des zones d'ombre qui font que le député en appelle à la vigilance du ministre de l'Intérieur Me Ousmane NGOM à qui il revient le droit de donner des récépissés aux formations politiques.
Par contre il met ses habits de défenseurs du peuple et contrôleur des dépenses publiques pour demander à Macky Sall de dire aux sénégalais qu’en est-il vraiment des 7 milliards des fonds taiwanais. « Qu’il nous dise de quel compte ca provient et dans quel compte il a été versé. Il doit aussi révéler les noms des bénéficiaires de ces fonds », s’inquiète le député de Latmingué. La dernière déclaration de Djibo Kâ relative a cette affaire a été évoquée par El Hadji Malick Guèye.
A l’en croire, Djibo Kâ a l’obligation de relever comment il a pu acquérir 400 millions de ces fonds. « En tant que députés, nous devons veiller à ce que tout se passe dans la transparence. Est-ce que des appels d’offre ont été faits dans cette affaire ? La loi rectificative des finances publique a-t-elle été respectée ? Autant de questions restent encore sans réponses » laisse entendre le président de la Fédération départementale Pds de Kaolack.
Des zones d'ombre qui font que le député en appelle à la vigilance du ministre de l'Intérieur Me Ousmane NGOM à qui il revient le droit de donner des récépissés aux formations politiques.