La campagne pour les élections de représentativité syndicale a démarré sur fond de contestations qui risquent d’atterrir devant la justice. L’Unsas dénonce déjà des « irrégularités » et menace de saisir le Tribunal pour qu’il se prononce sur la question.
Selon Mademba Sock, secrétaire général de ladite Centrale syndicale, le ministre Mansour Sy a fait valider le fichier électoral il y a 3 jours, alors que les listes électorales n’ont pas été rendues publiques. Raison pour laquelle, souligne-t-il, une sommation interpellative lui a été servie depuis jeudi. Une sommation interpellative à laquelle le ministre n’a pas répondu.
«Nous allons l’attraire devant les juridictions pour que le Tribunal se prononce sur la question », avise-t-il. Pour Mademba Sock, l’Unsas se bat pour que « ces élections aient la crédibilité qu’il faut ». Mais d’après lui, ils ont l’impression que l’administrations du travail est dans la précipitation».
Toutefois, Mademba Sock signale que ce contentieux ne va pas empêcher l’Unsas de battre campagne. « Nous avons pensé qu’il faut avoir deux fers au feu. Il fallait poursuivre l’action contentieuse, mais il fallait préparer ces élections parce qu’elles sont importante. Elles permettent de déterminer les représentants, elles permettent aux travailleurs d’être présents dans les lieux où les décisions sont prises. De ce point de vue, plus où on a du poids, plus notre voix porte ».
source: Le Quotidien
Selon Mademba Sock, secrétaire général de ladite Centrale syndicale, le ministre Mansour Sy a fait valider le fichier électoral il y a 3 jours, alors que les listes électorales n’ont pas été rendues publiques. Raison pour laquelle, souligne-t-il, une sommation interpellative lui a été servie depuis jeudi. Une sommation interpellative à laquelle le ministre n’a pas répondu.
«Nous allons l’attraire devant les juridictions pour que le Tribunal se prononce sur la question », avise-t-il. Pour Mademba Sock, l’Unsas se bat pour que « ces élections aient la crédibilité qu’il faut ». Mais d’après lui, ils ont l’impression que l’administrations du travail est dans la précipitation».
Toutefois, Mademba Sock signale que ce contentieux ne va pas empêcher l’Unsas de battre campagne. « Nous avons pensé qu’il faut avoir deux fers au feu. Il fallait poursuivre l’action contentieuse, mais il fallait préparer ces élections parce qu’elles sont importante. Elles permettent de déterminer les représentants, elles permettent aux travailleurs d’être présents dans les lieux où les décisions sont prises. De ce point de vue, plus où on a du poids, plus notre voix porte ».
source: Le Quotidien