
« Nous sommes conscients que l’on peut proroger le délai de révision des listes électorales mais la translation ne doit pas être faite. Ce n’est pas parce qu’on n’a pas assisté à un rush, ce n’est pas parce qu’il y a eu ce changement de délai que cela doit impacter dans l’organisation des élections locales du 16 mars prochain. Nous sommes pour le respect du calendrier républicain », a martelé M. Diouf. C’est au pouvoir, renchérit-il, de prendre ses responsabilités pour que les élections soient organisées à date échue