Dans ce sens, la natif de Thiès indique qu’elle est parti parce qu’elle ne se voyait plus dans ce parti dont elle a participé pourtant à la mise en place. «Après m’avoir renouvelé le poste de porte-parole du parti lors du congrès, on ne me convoquait plus ou alors, on n’attendait 15 minutes pour me convoquer alors que j’étais à Thiès au chevet de mon mari … Je ne connaissais rien, finalement, du parti».
Elle estime qu’elle « ne se sentait plus utile parce qu’entre les paroles de sa nomination comme porte-parole et les actes posés tous les jours, il n’y avait aucune concordance. Dans ces entrefaites «je me suis retenu en restant chez moi», a fait savoir l’ex-progressiste. Car, «on avait recruté une agence de communication alors que je n’étais même pas au courant». La parlementaire relève qu’il y avait un «manque de respect et de considération» à son endroit.
A ceux qui pensent qu’Elène Tine a quitté l’AFP pour des raisons de poste, la député balaye d’un revers de la main. «Si c’est pour des postes, j’aurais trouvé d’autres raccourcis parce que ce ne sont pas les avances qui manquaient…». Elle confie qu’il y avait des opérations de charme du côté du l’ancien régime à l’endroit de nombreux responsables du parti de Niass. D’ailleurs, elle révèle qu’au moment où certains refusaient les offres, d’autres rasaient les murs pour se rendre nuitamment au Palais de la République.
Par ailleurs, Elène Tine affirme qu’au moment où elle a quitté l’AFP, beaucoup de partis politiques ont voulu l’enrôler mais, le choix de partenariat avec le mouvement Bëss de Niakk de Serigne Mansour Sy Djamil a plus pesé sur la balance.
Ferloo
Elle estime qu’elle « ne se sentait plus utile parce qu’entre les paroles de sa nomination comme porte-parole et les actes posés tous les jours, il n’y avait aucune concordance. Dans ces entrefaites «je me suis retenu en restant chez moi», a fait savoir l’ex-progressiste. Car, «on avait recruté une agence de communication alors que je n’étais même pas au courant». La parlementaire relève qu’il y avait un «manque de respect et de considération» à son endroit.
A ceux qui pensent qu’Elène Tine a quitté l’AFP pour des raisons de poste, la député balaye d’un revers de la main. «Si c’est pour des postes, j’aurais trouvé d’autres raccourcis parce que ce ne sont pas les avances qui manquaient…». Elle confie qu’il y avait des opérations de charme du côté du l’ancien régime à l’endroit de nombreux responsables du parti de Niass. D’ailleurs, elle révèle qu’au moment où certains refusaient les offres, d’autres rasaient les murs pour se rendre nuitamment au Palais de la République.
Par ailleurs, Elène Tine affirme qu’au moment où elle a quitté l’AFP, beaucoup de partis politiques ont voulu l’enrôler mais, le choix de partenariat avec le mouvement Bëss de Niakk de Serigne Mansour Sy Djamil a plus pesé sur la balance.
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